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  • Gare centrale de Prague

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    Géolocalisation sur la carte : République tchèque
    Géolocalisation sur la carte : Prague
    La gare centrale de Prague (en tchèque : Praha hlavní nádraží, également appelée Praha Wilsonovo nádraží) est la plus grande et la plus importante gare ferroviaire de Prague.

    La gare a été inaugurée le 14 décembre 1871 et nommée « gare François-Joseph » en l’honneur de l’empereur François-Joseph Ier. Le hall de la gare a été construit entre 1901 et 1909, par l’architecte tchèque Josef Fanta nike soccer jerseys 2016 outlet. La station a été prolongée d’une nouvelle aérogare construite entre 1972 et 1979. Sa reconstruction 2016 soccer jerseys en ligne, démarrée en 2006, prendra fin en 2012 maillots de football 2016 sale.
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    La gare est une plaque tournante du transport international (trains en direction des villes de Munich, Nuremberg, Berlin, Dresde, Hambourg et vers la Pologne, la Slovaquie, la Hongrie, les Pays-Bas, la Serbie et la Croatie). Ils sont exploités par des trains express et des Pendolino.
    En plus des services internationaux, les trains desservent la plupart des grandes villes tchèques, comme Brno, Plzeň, České Budějovice et Olomouc crampons de football de puma pas cher.
    La gare est desservie par le métro de Prague (ligne C), et de nombreuses lignes de tramway devant la gare.
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  • Radislav Krstić

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    Radislav Krstić, né le 15 février 1948, est un général serbe de Bosnie condamné par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie comme l’un des organisateurs du massacre de Srebrenica, commis contre des Bosniaques lors de la guerre de Bosnie maillots adidas en ligne, en juillet 1995.
    Le 2 août 2001, le TPIY l’a reconnu coupable de génocide et l’a condamné à 46 ans de prison pour son rôle dans le massacre de milliers de Bosniaques à Srebrenica 2016 soccer jerseys en ligne.
    Cependant celui-ci fit appel de cette décision et le 19 avril 2004, la chambre d’appel le prononça non coupable de génocide mais retint l’accusation de complicité dans un génocide. Sa peine fut réduite de 11 ans.
    Le 20 décembre 2004, il fut transféré et incarcéré au Royaume-Uni dans la prison de Wakefield pour purger sa peine de 35 ans d’emprisonnement crampons de football de puma pas cher.
    Le 7 mai 2010, il a été retrouvé battu, et la gorge coupée, dans sa cellule et conduit aux urgences dans un état critique. Trois détenus sont suspectés de cette tentative d’assassinat: L’un d’entre eux, Indrit Krasniqi, un Albanais du Kosovo ancien de l’UÇK a été condamné à perpétuité en 2006 pour participation à la torture sandro femme, au viol et meurtre de Mary-Ann Leneghan, un autre est un Bosniaque Musulman.
    Il a ensuite été déplacé vers une prison aux Pays-Bas et devrait être fin mars 2013 envoyé dans une autre prison en Pologne.


  • Interféromètre du Très Grand Télescope

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    Very Large Telescope Interferometer
    L’Interféromètres du Très Grand Télescope, en anglais Very Large Telescope Interferometer, en abrégé VLTI, est un des modes de fonctionnement des télescopes du Très Grand Télescope (VLT).
    Dans ce mode de fonctionnement, les faisceaux de plusieurs UTs ou ATs (de deux à quatre) sont combinés pour former des franges d’interférence de Michelson au foyer d’un instrument focal crampons de football de puma pas cher. On peut obtenir ainsi une image dont la résolution angulaire est égale à celle qu’aurait un télescope dont le diamètre est la distance entre les télescopes les plus éloignés

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    . Ce mode permet donc d’atteindre des résolutions très élevées, à même de permettre la mesure du diamètre angulaire des étoiles, étant donné que le télescope virtuel ainsi reconstitué peut avoir un diamètre de 140 mètres sacs lancel pas cher 2016.
    Actuellement, l’instrument AMBER permet d’utiliser 3 télescopes simultanément, l’instrument MIDI permet d’utiliser 2 télescopes et l’instrument visiteur PIONIER permet d’utiliser 4 télescopes. Deux instruments de “seconde” génération sont en cours d’étude et de réalisation : MATISSE et GRAVITY

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  • Tournoi européen FIRA de rugby à XV 1935

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    Tournoi européen FIRA 1936
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    Le Tournoi européen FIRA de rugby à XV 1935 est organisé par la Fédération internationale de rugby amateur bogner france 2016. Il se déroule à Rome le 22 avril 1935. La seule rencontre au programme n’est pas inscrite dans les annales du rugby français et aucune cape n’est comptabilisée pour les joueurs. Les Tricolores l’emportent 44 à 6 face aux Italiens,.

    Points marqués :
    Évolution du score :
    Arbitre : Léopold Mailhan
    Titulaires Eugène Chaud 15 2e 4e René Finat 14 Joseph Desclaux 13 59e Jean Coderc 12 43e 48e 68e Robert Fretet 11 83e Paul Boyer 10 (cap.) Léopold Servole 9 Louis Dupont 8 François Raynal 7 6e Jean Blond 6 77e Jacques Dorot 5 André Camel 4 67e Marcel Laurent 3 Charles Bigot 2 Marcel Ollivier 1 Remplaçants Entraîneurs Joseph Lanusse et Allan Muhr
    Titulaires 15 Riccardo Centinari 14 Aurelio Cazzini 13 Giuseppe Piana 12 Francesco Vinci III 11 Lucio Cesani 10 Pietro Vinci IV (cap euro de foot 2016 outlet.) 70e 9 Renato de Marchis 8 Eraldo Sgorbati 7 Giuseppe Visentin 6 Carlo Carloni 5 Gastone de Angelis 4 Angelo Albonico 3 Orlando Maestri 2 Ottavio Bottonelli 1 Leandro Tagliabue Remplaçants 16 Riccardo Aymonod 17 Arrigo Marescalchi 71e 18 Giulio Rizzoli 19 Filippo Caccia Dominioni Entraîneur Julien Saby


  • Harmonisation et accompagnement du chant grégorien

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    Les harmonisation et accompagnement du chant grégorien sont quelques manières de l’exécution du chant grégorien, ou historiquement du plain-chant aussi, mais celles qui étaient toujours discutées ou opposées, en comparaison de l’unisson.
    De nos jours, l’accompagnement de l’orgue est formellement autorisé et parfois recommandé, à la suite du concile Vatican II.
    Dans le contexte historique et sémiologique, il reste cependant des questions, étant donné que l’orgue n’existait pas encore lors de la composition du chant grégorien.

    On ignore ceux qui concernent pendant les premiers siècles du chant grégorien, à l’exception du mouvement de la polyphonie. Toutefois, il est certain que la pratique de ce chant était toujours effectuée à l’unisson, sans modification, jusqu’à ce que la Renaissance arrive. En effet, les études des manuscrits dans les archives européennes indiquent qu’une immense uniformité du chant se conservait jusqu’au XVIIe siècle. Par exemple, Dom Mocquereau de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes trouva que sont identiques un manuscrit d’Ivrée du XIe siècle et celui du XVIIe siècle dans la même région.
    Apparu au XVe siècle, le faux-bourdon pour le plain-chant fut officiellement autorisé en 1600 par le pape Clément VIII, en raison de sa composition parfaitement homophonique. Car, au contraire de la polyphonie, les fidèles peuvent entendre correctement le texte. Il s’agissait du premier cérémonial de l’Église, Cæremoniale episcoporum jussu Clementis VIII, Pont. Max. novissime reformatun, omnibus Ecclesiis, præcipea autem Metropolitanis, cathedralibus & collegiatis perutile ac necessarium[dl 1], qui admettait l’usage de celui-ci, afin de célébrer plus solennellement les psaumes des vêpres ainsi que pour les hymnes et quelques antiennes[dl 2]. Ainsi, le chœur pouvait sélectionner entre les deux manières, soit à l’unisson en grégorien, soit en faux-bourdon, pour le verset Deus in adjutorium[dl 3] lors du commencement des offices de la liturgie des Heures.
    Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, celui-ci fut rapidement remplacé par l’accompagnement de l’orgue. Comme sa nature ne respecte pas la caractéristique du chant grégorien fortement monodique, le faux-bourdon est aujourd’hui en dehors de l’usage, à l’exception de quelques groupes vocaux herve leger paris.
    Depuis le XVIe siècle, le chant grégorien subissait sa transformation en plain-chant, à cause de plusieurs circonstances : notation à gros carrés depuis le XVe siècle, critiques du mouvement de la Renaissance puis de la Réforme luthérienne, alourdissement par la pratique du faux-bourdon ou du contrepoint improvisé[dl 4]. Toutefois, le chant grégorien était confirmé en tant que chant liturgique de l’Église par excellence dans ce cérémonial de Clément VIII[dl 4], fixé en 1600.
    Par ailleurs, le document admettait également l’accompagnement de l’orgue. Plus précisément, il contient d’un chapitre, intitulé De Organo, organista, & musicis, seu cantoribus, & norma per eos servanda in divinis[dl 1].
    Selon ce chapitre, les célébrations en présence de l’organiste et des musiciens devaient être limitées. Il s’agissait de tous les dimanches et de toutes les fêtes chômées, à l’exception des dimanches de l’Avent et du Carême. Concernant la liturgie des Heures, les offices des matines, vêpres étaient admis, tout comme la messe. Lorsque l’office de tierce précédait immédiatement la messe, l’orgue pouvait le soutenir, à condition que la coutume des lieux l’autorise[dl 5],[dl 6].
    En fait, ce grand document précisait encore. En dépit de l’absence d’orgue durant les offices des matines ou du nocturne, pour le dimanche, l’organiste pouvait assister à la fin du troisième nocturne, afin d’alterner avec le chœur. Il s’agissait de l’hymne Te Deum. De même, il était possible, lors des laudes, de dialoguer avec le chant, pour l’hymne et surtout le cantique de Zacharie, ainsi qu’à la fin des psaumes[dl 7].
    Au regard de la messe, celle-ci devait se commencer à l’unisson et en grégorien[dl 8]. Au contraire, les Kyrie, Gloria, Sanctus et Agnus Dei pouvaient été exécutés par l’alternance entre le chant en grégorien et l’orgue[dl 9]. Il est possible que cette façon fût une opposition à la richesse de la messe polyphonique de l’époque. Pour terminer, le Deo gratias était chanté en grégorien, ou en faux-bourdon[dl 10].
    En 1615, l’usage du cérémonial eut lieu en France[dl 11]. Aussi la cathédrale de Troyes établit-elle en 1630 un règlement vraiment précisé, selon ce livre liturgique. Notamment, la registration (jeu) y était strictement déterminée, d’après le degré de gravité[dl 12] :
    « [Aux premières vêpres des fêtes solennelles], l’organiste doit toucher l’orgue au Ve psalme du ton de la Ve antienne, verset au verset avec le chœur qui répond en faux-bourdon ; [il] doit toucher l’hymne, et le chœur répond ; les Ier et derniers versets desdits psaumes et hymne est [sic] touché en plein-jeu, les autres en jeux particuliers, à moins qu’un psalme ou hymne qui, n’ayant que 3 versets ou strophes, auquel cas le IIe jeu que l’organiste touche en un jeu particulier, parce que deux pleins-jeux se suivraient consécutivement sans interruption[dl 12]. »
    Sous le règne du roi de France Louis XIII († 1643), deux joueurs du cornet à bouquin étaient singulièrement autorisés auprès de la Chapelle royale, si cette dernière comptait 51 effectifs. À la suite du couronnement de Louis XIV († 1715), elle accueillit plusieurs instrumentistes tels les joueurs de violon, de flûte traversière. En effet, le Roi Soleil savait bien que la musique pouvait renforcer le prestige des princes[dl 13]. Alors que la célébration de la grande messe du dimanche et des fêtes demeurait ecclésiastique, celle de la semaine était dorénavant accompagnée de l’ensemble des instruments, à savoir avec l’exécution des motets[cm 1].
    Certes, le chant ecclésiastique conservait encore ses dignité et supériorité et résistait à Versailles. Ainsi, en octobre 1722, le jour où le nouveau roi Louis XV fut sacré à la cathédrale Notre-Dame de Reims, un Te Deum fut chanté en plain-chant, vraisemblablement en grégorien à l’unisson, ou en faux-bourdon. En fait, la version du grand motet de Michel-Richard de Lalande avait été préparée pour cette célébration. Au dernier moment, « un ordre de le chanter en plain chant » fut dénoncé[cm 2], probablement par le maître de chapelle, Charles-Louis-Auguste Le Tonnelier de Breteuil, évêque de Rennes maje robe. Cependant, à la Chapelle royale, le plain-chant devint progressivement un élément des motets, tels le grand motet Dies iræ (S.31) ainsi que le petit motet Miserere mei Deus secundum (S. 87) de Lalande.
    Moins intéressé à la musique, le roi Louis XV réduisit sérieusement, en 1761, la taille de chapelle, en supprimant pareillement le maître ecclésiastique de celle-ci, en raison de sa dépense annuelle considérable, et non selon la raison liturgique.
    À dire vrai, l’exécution à la cour si puissante de Louis XIV était un cas particulier. Lorsque ce souverain voulait ajouter les violonistes à la Chapelle royale, l’un des sous-maîtres depuis Louis XIII, sans doute musicien ecclésiastique Pierre Robert, aurait tenté de persuader le roi de ne pas les y introduire, en citant la contradiction du concile de Trente.
    Environ cent ans plus tard, en 1750, l’abbé Léonard Poisson précisait la situation de l’époque :
    « De grandes églises comme celle de Lyon & celle de Sens n’en admettent point d’autres [> que le plain-chant]. Et ce n’est que très-récemment que l’Église de Sens a admis l’Instrument appellé (sic) Serpent. On n’employoit que les voix, qui toutes chantoient à l’unisson, encore préféroit-on les voix appellées, Tailles, sonores & concordantes aux grosses voix appellées Basses-contres, & on n’y connoissoit d’autre Instrument que l’Orgue. Le Cardinal Bona, dit qu’il n’y a point d’Orgue dans la Chapelle du Pape. L’Église de Lyon n’en a point non plus, ni aucun autre Instrument. »
    — Léonard Poisson, Traité théorique et pratique du plain-chant, appelé grégorien, dans lequel on explique les vrais principes de cette science, …, 1750, p. 22 [lire en ligne]
    Le pape Benoît XIV qui avait proclamé, le 19 février 1749, une constitution au regard de ce sujet. Dans cette bulle, le Saint-Père recommandait officiellement que le chant grégorien soit exécuté à l’unisson, vocibus unisonis, en raison de sa solennité. Quant aux chants harmonisés, il s’agissait des chants au second rang, à cause des paroles confuses et moins intelligibles. De plus, Benoît XIV choisit rigoureusement les instruments autorisés dans les églises maillots adidas en ligne, après avoir consulté des spécialistes dont des maîtres de chœur. Ceux qui restaient favorables n’étaient pas nombreux : l’orgue, le basson, le violoncelle, le violon et la viole de gambe qui sont capables de corroborer et de soutenir la voix de chantres. Tout autres instruments furent exclus, car ils excitaient la musique trop théâtrale.
    En dépit des vœux du pape Benoît XIV, le XVIIIe siècle favorisait de plus en plus la pratique des instruments dans les églises. La cathédrale Notre-Dame de Rodez conserve effectivement les noms des instrumentalistes, tels ceux des maîtres de chœur, grâce à un grand nombre de documents dans ses archives. Les musiciens y exécutaient leur accompagnement déjà dans les années 1730. Le choix des instruments par Benoît XIV était quasiment respecté, à l’exception de l’hautbois, c’est-à-dire des artistes invités pour la célébration des fêtes. La paroisse hésitait toujours à dépenser au regard du basson jusqu’en 1747, hormis l’occasion de cette célébration de l’Assomption. Le premier contrat avec un joueur de cet instrument fut conclu le 16 août 1747, un mois plus tard. Quant aux organistes, la cathédrale comptait 17 musiciens, depuis qu’Anthoine Rivallier avait succédé à Pierre Chambert le 25 novembre 1637, et jusuqu’à ce qu’un certain Sauvage y arrive le 21 décembre 1777.
    (selon Françoise Talvard, La Maîtrise de la cathédrale de Rodez au XVIIe et XVIIIe, 2005 [lire en ligne] Cahier PHILIDOR 031, Centre de musique baroque de Versailles) :
    Strictement, l’harmonisation et l’accompagnement du chant grégorien n’existaient guère, au XIXe siècle.
    D’abord, dans la deuxième moitié de ce siècle-là, le faux-bourdon à la base du plain-chant fut rapidement remplacé par l’orgue[ag 1]. De plus, la pratique du plain-chant subit son déclin surtout en France, car de nombreux diocèses renoncèrent le rite romain, en faveur du gallicanisme. Ensuite, pour la Schola cantorum au sein du Vatican conservant encore la tradition du plain-chant, le Saint-Siège choisit une nouvelle Édition médicéenne en octroyant, en 1870, 30 ans de privilège à une édition de Ratisbonne, même s’il ne s’agissait pas d’édition officielle. En effet, à cette époque-là, cette édition était faussement attribuée à Giovanni Pierluigi da Palestrina tandis que c’était une version discutable et loin du chant grégorien correct. Enfin, un certain nombre de musicologues tels Félix Danjou, Louis Lambillotte, puis, des moines de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes commencèrent à restaurer le chant grégorien, vers la version authentique. Étant donné que n’existe aucune notation ancienne et accompagnée d’instrument, leur représentation était singulièrement tenue à l’unisson. Donc, au XIXe siècle concernant le chant grégorien, la pratique des harmonisation et accompagnement quasiment n’existait pas.
    Toutefois, il n’est pas inutile à connaître un nouveau phénomène dans ce siècle, « harmonisation habituelle du plain-chant[ag 1] », car en raison de ce mouvement, les caractéristiques des chants liturgiques anciens dont le chant grégorien étaient désormais considérablement menacées :
    « En France, les organistes semblent avoir oublié et méconnu si complément le but auquel ils devaient tendre, qu’il n’est presque plus permis d’entrer dans une église sans se voir poursuivi par les airs de dance à la mode ou le motif favoir du dernier opéra. »
    — Louis Girod, De la musique religieuse, chapitre XI, p. 165
    « L’accompagnement du plain-chant repose sur quelques règles très-simples. La première et la plus fondamentale est celle-ci : L’EMPLOI EXCLUSIF, DANS CHAQUE MODE, DES SONS DE L’ÉCHELLE. Cette règle est malheureusement méconnue de la plupart des organistes, des maîtres de chapelle et même d’un bon nombre de musiciens instruits. »
    — Joseph d’Ortigue et Louis Niedermeyer, Traité théorique et pratique de l’accompagnement du plain-chant, nouvelle édition en 1876, p. 35 [lire en ligne]
    Le 26 avril 1842, la discipline de la bulle du pape Benoît XIV fut à nouveau confirmée par Engelbert Sterckx, cardinal-archevêque de Malines en Belgique et défendeur du chant grégorien :
    « Si on fait accompagner le chant par des instruments de musique, il faut qu’ils servent uniquement, d’après l’avis de Benoît XIV, Constit. citée §. 12, à ajouter de la force au chant, afin que le sens des paroles pénètre mieux dans le cœur de ceux qui écoutent, que l’esprit des fidèles soit excité à la contemplation des choses spirituelles, et à l’amour de Dieu et des choses divines. On doit donc prendre garde que les instruments ne couvrent la voix des chantres, et n’étouffent, pour ainsi dire, le sens des paroles. »
    — Décret de son éminence le cardinal Sterckx, archevêque de Malines, concernant le Chant et la Musique d’Église, accompagné d’une traduction française et d’observations, à l’usage des Maîtres de Chant et de Musique, article VI [lire en ligne]
    Le compositeur Franz Liszt († 1886) étudiait profondément le chant grégorien, en souhaitant que ses futures œuvres religieuses soient officiellement admises par l’autorité de l’Église[eg39 1]. Finalement, il trouva sa conclusion d’après ses études, en prévoyant le motu proprio Inter pastoralis officii sollicitudes (1903) du pape Pie X.
    Certes, il s’intéraissait d’abord à l’harmonisation du faux-bourdon. Inspiré du De profundis en faux-bourdon, le jeune compositeur avait écrit en 1835 le Psaume instrumental pour piano et orchestre,[eg39 2]. Puis, vers 1860, il acheva une vaste collection consistée des répons avec les versets, doxologies et antiennes, harmonisés à quatre voix, et accompagnés des textes mais sans indication d’effectif vocal ou instrumental[eg39 3] crampons de football de puma pas cher.
    Cependant ce musicien catholique écrivit, le 24 juillet 1860, à la princesse Carolyne de Sayn-Wittgenstein :
    « Quand il y aura lieu j’en tracerai préalablement le plan très simple en lui-même, car il s’agit là par-dessus tout de fixer ce qui est im[m]uable dans la Liturgie catholique, tout en l’appropriant aux exigences de la notation actuellement en usage sans laquelle il n’y a pas moyen d’obtenir une exécution précise et satisfaisante. Tous les instrumen[t]s d’orchestre seraient écartés — et je conserverai seulement un accompagnement ad libitum d’orgue pour soutenir et renforcer les voix. C’est le seul instrument qui ait un droit de permanence dans la musique d’Église, moyen[n]ant la diversité de registres on pourra ajouter aussi un peu plus de coloris[eg39 4] ; … »
    En effet, à mesure que ses études étaient approfondies, il comprit que la dimension du chant grégorien est fortement monodique[eg39 5]. Désormais, il commença à composer ses œuvres de la musique sacrée, mais en conservant ces trois points suivants[eg39 4] :
    Ce jugement fut suivi de celui d’Olivier Messiaen. De fait, après avoir écrit son O sacrum convivium en 1937, il redécouvrit le chant grégorien : « Le chant grégorien est le plus beau trésor que nous possédions en Occident. », « De chant liturgique, il n’en existe qu’un : le plain-chant. » Dorénavant, il ne composa aucun nouveau motet liturgique.
    En 1895, le patriarcat de Venise Giuseppe Sarto, futur pape Pie X, dénonça les disciplines du chant liturgique de l’Église :
    « L’antique chant grégorien traditionnel devra donc être largement restitué dans les fonctions du culte ; et tous tiendront fermement qu’une fonction ecclésiastique ne perd rien de sa solennité quand elle n’est accompagnée d’aucune autre musique que de celle-là. »
    — Cardinal Sarto, futur pape Pie X, Lettre pastorale sur le chant d’Église, le 1er mai 1895
    Le 22 novembre 1903, fête de sainte Cécile, à savoir patronne de la musique et des musiciens, le nouveau pape Pie X expédia son motu proprio Tra le sollecitudini en italien. En tant que défenseur de la restauration du chant grégorien depuis sa jeunesse, il commença à concentrer sur l’une immense centralisation de la liturgie romaine, avec ce motu proprio. Surtout, le pape y chargeait aux chantres le plus haut niveau, en tant que célébrant ecclésiastique : « Les chants réservés au célébrant à l’autel et aux ministres doivent toujours et exclusivement être en chant grégorien, sans aucun accompagnement d’orgue … » Si le Saint-Père précisait que la musique propre de l’Église demeure la musique purement vocale, l’usage de l’orgue était admis. Au regard des instruments, l’autorisation serait donnée comme exception : « En certains cas particuliers, on admettra aussi d’autres instruments, dans de justes limites et avec les précautions convenables, mais jamais sans une autorisation spéciale de l’Ordinaire, selon la prescription du Cérémonial des évêques. » L’usage du piano était interdit, tels le tambour, les clochettes. Enfin saint Pie X confirma : « Comme le chant doit toujours primer, l’orgue et les instruments doivent simplement le soutenir, et ne le dominer jamais. »
    Le début du XXe siècle se caractérise de nombreuses publications de livres de chant en grégorien mais accompagnés de l’orgue, quoique la restauration de ce chant de l’Église authentique, désormais chant officiel par excellence, fût effectivement promue sous le pontificat de saint Pie X. On ignore la raison de ce phénomène. Il semble toutefois que ce chant monodique ne fût pas à la mode, surtout lors de la Belle Époque. Il est vrai qu’Outre-Manche aussi, le même phénomène était constaté. Dans les années 1840, plusieurs republications du livre de John Merbecke, le premier livre de chant anglican sorti en 1550, furent exécutées, en rendant hommage à son origine, chant grégorien. En dépit de l’intention des éditeurs, les plain-chants restaurés de Merbecke n’étaient chantés, auprès des paroisses, que harmonisés à quatre voix ou accompagnés de l’orgue. Une autre explication se trouverait dans le motu proprio de saint Pie X. Ce dernier y interdit toutes les musiques de théâtre dans les églises, car au XIXe siècle, cette pratique était considérablement effectuée lors des offices, notamment en Italie. Vraisemblablement, il fallait orner le chant grégorien selon le goût de l’époque, à savoir la période où l’opéra était vraiment apprécié, de sorte que ce chant modeste soit effectivement accepté par les fidèles.
    D’ailleurs, un livre d’Amédée Gastoué concernant ce sujet, Traité d’harmonisation du chant grégorien, sur un plan[ag 1] sorti en 1910, est vraisemblablement capable de nous aider comprendre la circonstance de cette période. En tant que professeur du chant grégorien, l’auteur l’enseignait auprès de la Schola Cantorum de Paris et de l’Institut catholique de Paris. Surtout, il était l’un des dix consulteurs de la Commission pontificale grégorienne, créée en 1904 par le pape Pie X et constituée de vingt spécialistes européens pour la rédaction de l’Édition Vaticane. Selon ce livre, on sait qu’il fallait régler encore l’accompagnement d’orgue, afin d’adapter au mode du chant grégorien. Il est évident que la Schola Cantorum de Paris, conservatoire privé et fondé par Charles Bordes en 1894, voulait promouvoir cette propre adaptation. Mais le livre demeurait non seulement dans le domaine musical mais également dans les règles de la liturgie. À partir de la page 118[ag 2], Gastoué devait préciser ceux qui concernaient dans ce domaine. Auparavant, les établissements pratiquant l’orgue avaient été limités, telles les cathédrales. Dorénavant, quelle que soit la taille d’église, l’accompagnement de l’orgue était exécuté.
    Dans ce livre de Gastoué, un certain nombre de partitions se présentent, en tant qu’exemples grâce auxquels l’on peut établir une liste de spécialistes de l’accompagnement.
    Comme certains personnages importants ainsi que même l’organiste de Solesmes se trouvent dans cette liste, il est évident que l’accompagnement de l’orgue n’était pas un phénomène limité.
    Avec la Constitution sur la sainte liturgie (1963), le concile Vatican II dénonça sa conclusion au regard de ce sujet :
    « Il convient aussi que l’on procure une édition contenant des mélodies plus simples à l’usage des petites églises. »
    — Sacrosanctum Concilium, article n° 117, L’édition des livres de chant grégorien
    « On estimera hautement, dans l’Église latine, l’orgue à tuyaux comme l’instrument traditionnel dont le son peut ajouter un éclat admirable aux cérémonies de l’Église et élever puissamment les âmes vers Dieu et le ciel. »
    — Sacrosanctum Concilium, article n° 120, L’orgue et les autres instruments de musique
    Dorénavant, de sorte que soient célébrés, sans difficulté, les offices en grégorien auprès des églises et des paroisses de petite taille, l’usage convenable de l’orgue est recommandé.
    Ainsi les Éditions de Solesmes publièrent-elles le Liber cantualis comitante organo en 1981, puis entre 1984 et 1986, trois tomes du Graduale romanum comitante organo, afin de soutenir ces vœux du concile. Ceux-ci avaient été préparés par l’abbé Ferdinand Portier :
    L’orgue demeure également un moyen pour distinguer la gravité des offices. Ainsi, la célébration des matines est tenue sans accompagnement alors que celle des laudes, plus solennelle, s’accompagne de l’orgue, auprès de l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault. Celle de la vigile pascale auprès de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes respecte son exécution purement vocale. À la messe suivante, à savoir après la résurrection du Christ Rédempteur, l’orgue se rejoint.
    De nos jours, quelques ensembles vocaux ont tendance à expérimenter de nouvelles manières. Ainsi, la Schola cantorum Riga essaya une collaboration avec le saxophone, quoique ce dernier n’ait jamais été employé dans l’histoire de la liturgie . Le Consortium Vocale Oslo auprès de la cathédrale d’Oslo chanta en 2013 une messe en grégorien, en collaboration avec Eivind Aarset, guitariste norvégien, mais celui de Jazz


  • Trente-six vues du mont Fuji

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    Les Trente-six vues du Mont Fuji (冨嶽三十六景, Fugaku-sanjūrokkei?) sont une série de quarante-six estampes réalisées par Katsushika Hokusai (1760-1849) et dont les dates d’édition s’étendent entre 1831-1833. Elles représentent le mont Fuji depuis différents lieux, suivant les saisons. Cette série est aujourd’hui très célèbre car elle marque l’intégration dans les thèmes de la tradition japonaise (la plus ancienne des nombreuses représentations artistiques du mont Fuji semble datée du XIe siècle) des modes de représentation occidentaux, et en particulier de la perspective utilisée dans la peinture occidentale.

    Le mont Fuji était déjà apparu à plusieurs reprises dans l’œuvre d’Hokusai, comme dans les Voyageurs à Enoshima, ou dans un surimono de 1805 entre des cerisiers en fleur. Vers 1830, Hokusai contacte probablement l’éditeur Nishimuraya Yoachi pour lui soumettre son projet de graver une série de grandes estampes de paysage sur ce thème unique. Dix estampes paraissent d’abord, dont La Grande Vague de Kanagawa, Le Fuji par temps clair et L’orage sous le sommet, souvent considérées comme les trois plus célèbres estampes japonaises et dont le succès fut immédiat.
    Bien que cette série s’appelle les Trente-six vues du Mont Fuji, elle comporte en fait quarante-six planches dont : Le Fuji vu de la plage de Shichirigahama dans la province de Sagami, Mesurage d’un cèdre au col de Mishima dans la province de Kai, Le bac sur la Sumida à Onmayagashi, avec au loin le pont de Ryogoku, Gens admirant le Mont Fuji depuis une maison de thé à Yoshida, Gens sur le balcon du temple de Gohyakurakan ou encore Le Mont Fuji et le château d’Edo vus de Nihonbashi.
    Les Trente-six vues du Mont Fuji est une des premières séries entièrement consacrée au paysage, mais réalisée en grand format, et en cela Hokusai a révolutionné la peinture de l’époque. Cependant même si le Mont Fuji est l’élément principal de la série, il ne constitue pas son but essentiel. Le thème principal qui ressort de ces estampes est davantage l’illustration du rapport entre l’homme et la nature : « Le thème des Trente-six vues du Mont Fuji est le rapport entre l’homme et la nature, et la plus grande invitation à approfondir ce rapport se trouve là, justement, où l’homme n’est pas représenté (ce qui ne l’empêche pas d’être présent – à travers l’œil du spectateur). » (Kenneth White).
    Les Trente-six vues du Mont Fuji ont connu un très grand succès notamment grâce à la qualité plastique des estampes, à leur originalité ; deux aspects de cette série ont surtout fait sa renommée : l’utilisation du Bleu de Prusse ainsi que l’influence de modes de représentation occidentaux.
    Le bleu de Prusse, appelé également bleu de Berlin, était un pigment seulement importé de Hollande depuis 1820, que l’on retrouve dans les Trente-six vues du Mont Fuji notamment dans La Grande Vague, La plage de Shichirigahama dans la province de Sagami ou encore dans Le lac de Suwa dans la province de Shinano. Il transforma l’aspect des estampes : il fut utilisé pour la première fois par le peintre Ooka Shunboku en 1829 et connut un succès immédiat.
    Les artistes appréciaient l’utilisation de cette couleur d’origine synthétique qui risquait moins de perdre son éclat avec le temps ; ils l’utilisèrent d’autant plus qu’ils étaient contraints par la censure à n’utiliser qu’un nombre restreint de couleurs et qu’ils avaient réalisé les immenses ressources qu’ils pouvaient tirer de ce seul bleu.
    Le bleu de Prusse était très vite devenu tellement prisé que l’éditeur d’Hokusai lança une édition, en aizuri-e (estampes bleues), des Trente-six vues du Mont Fuji avant d’éditer la série avec les couleurs complémentaires adidas soccer jerseys 2016 outlet. Toutes les estampes de la série ne sont pas fondées sur ce pigment mais une certaine tonalité bleue se dégage de l’ensemble, « le bleu, peut-être, de l’espace et de l’éternité (avec l’avantage matériel que ce bleu de Prusse gardait effectivement longtemps son intensité, alors que d’autres bleus pâlissaient vite). » (Kenneth White).
    Les Trente-six vues du Mont Fuji ne sont pas célèbres pour la grande diversité des thèmes représentés mais plutôt parce que certaines de ces estampes expriment une vision du paysage purement japonaise alors que d’autres, de manière équilibrée et naturelle, utilisent les principes de la perspective occidentale. Ainsi dans son ouvrage L’estampe japonaise, Nelly Delay souligne cet aspect que l’on retrouve dans les estampes de la série :
    La forme, la composition ont toujours été très importantes pour Hokusai pas cher maillots de foot 2016 online. Dans la série des Trente-six vues du Mont Fuji, les formes géométriques comme le carré ou le rectangle, le cercle et le triangle jouent un rôle essentiel dans la construction des scènes représentées. Hokusai utilise par exemple dans l’image du pêcheur de Kajikazawa une construction triangulaire : le triangle du Mont Fuji se retrouve dans le triangle formé par le rocher, le pêcheur et ses lignes. Quand il représente la scierie de Honjo, il construit son estampe avec des formes géométriques simples comme des carrés et des lignes droites. Hokusai incorpore ces formes géométriques simples dans un climat poétique. L’influence de modes de représentation occidentaux se retrouve plus particulièrement dans La rue Seruga à Edo dans laquelle Hokusai adopte une perspective presque purement occidentale en plaçant le sommet du Mont Fuji entre les deux bâtiments du magasin Mitsui dont les ouvriers couvrent le toit 2016 chaussure de foot.
    Les Trente-six vues du Mont Fuji ont révolutionné la peinture japonaise notamment en plaçant le paysage au rang de sujet à part entière, mais cette série a également été une source d’inspiration très importante pour les peintres occidentaux japonisants du XIXe siècle. L’influence de l’art oriental et plus particulièrement de l’œuvre d’Hokusai se sent chez de nombreux peintres, comme Vincent van Gogh, Édouard Manet, Degas ou Claude Monet crampons de football de puma pas cher. Henri Rivière s’en est inspiré pour réaliser ses Trente-six vues de la tour Eiffel.
    Le Pont sur un étang de nymphéas de Monet (huile sur toile de 1899) semble s’inspirer de l’architecture orientale des ponts telle qu’on la retrouve dans plusieurs des estampes de la série d’Hokusai. La Grande Vague au large de Kanagawa, quand elle a été découverte par l’Europe dans la deuxième moité du XIXe siècle, a influencé de nombreux peintres et certains poètes : pour Debussy, cette estampe constitue sa plus grande source d’inspiration pour composer La Mer.
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  • Need for Speed : Conduite en état de liberté

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    Need For Speed : Conduite en état de liberté est un jeu vidéo de course sorti en 1999, développé par EA Canada et édité par Electronic Arts. Il s’agit du quatrième opus de la série des Need for Speed. La version originale disponible en Amérique du Nord est appelé Need for Speed: High Stakes, au Royaume-Uni elle se nomme Need for Speed: Road Challenge.

    Comme son prédécesseur, Need for Speed III : Poursuite Infernale, Conduite en État de liberté propose des poursuites de police, et introduit trois nouveaux modes de jeu : High Stakes, Délit de fuite et Carrière. High Stakes est un mode de jeu où la récompense pour avoir gagné la course est la voiture du perdant. Dans Délit de fuite, le joueur doit échapper aux forces de police durant un laps de temps donné, de généralement deux minutes. Enfin, le mode Carrière comprend un système de récompense en argent à la fin de chaque championnat effectué bogner france 2016, ce qui permet au joueur d’acheter d’autres voitures, et d’en améliorer les performances.
    Une autre innovation est l’introduction de dommages visuels. Les véhicules impliqués dans des accrochages, ou chocs, sont déformés et abimés, et leurs performances sont moins bonnes. Après une course en mode carrière, le joueur a le choix de réparer ou non sa voiture. Ce mode permet aussi au joueur, et ce pour la première fois, de mettre à niveau sa voiture, bien que cela consiste simplement en 3 niveaux d’améliorations pour chaque voiture.
    La version PlayStation du jeu, sortie quelques mois avant la version Windows, comprend un gameplay amélioré. Seuls les nouveaux circuits sont présents, alors que la version PC reprend d’anciens circuits de Need for Speed III. De plus, l’intelligence artificielle est, selon certaines critiques, plus avancée dans la version sur console. Par exemple, certains adversaires ont un caractère plus agressif, et d’autres poussent le joueur à la faute. La vue intérieure n’est elle disponible qu’uniquement sur PC. Tout comme Need for Speed III bogner ski wear, la physique des véhicules est également différente entre les 2 versions.
    Les voitures présentes dans Conduite en État de Liberté sont des voitures de sports existantes, et une voiture bonus totalement imaginée par les développeurs. Conduite en État de Liberté n’utilise plus le traditionnel classement “A” crampons de football de puma pas cher, “B” et “C” pour les performances des voitures, mais différentes catégories comme “AAA”, “AA”, “A” et “B”. Voici la liste des voitures présentes dans le jeu :
    Modèles standards
    Voitures de police
    Les circuits de Conduite en État de Liberté sont largement inspirés de Poursuite Infernale. Le joueur peut choisir de rouler de jour ou de nuit, sous le soleil ou la pluie. Les circuits sont aussi disponibles en sens inverse et en mode miroir.
    Conduite en État de Liberté comporte en tout 10 circuits dont trois à débloquer. Les dix circuits se situent dans différentes locations d’Amérique du Nord et d’Europe de l’Ouest. La majorité d’entre eux prennent place en campagne ou dans des forêts. Les circuits sont :
    Le logiciel ne reconnait pas certaines cartes graphiques sous Windows XP pas cher maillots de foot 2016 online. Dans ce cas, une mise à jour non officielle, disponible sous la forme d’une archive nommée spotpatch.zip, peut être appliqué.


  • Subwoofer

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    Un subwoofer, familièrement abrégé en « sub » dans le langage courant, est un haut-parleur destiné à la reproduction des fréquences sonores les plus basses du spectre audio.
    Par synecdoque (amalgame), les termes « subwoofer » et « sub » désignent aussi l’enceinte acoustique dans laquelle un tel haut-parleur est monté alors qu’on devrait parler de « caisson de grave ou de basses» maillots de foot vente. Ce type d’enceinte acoustique est présent sur de très nombreux équipements audio (par exemple les systèmes dits 2.1, 4.1, 5.1, 7.1, etc., le .1 signifiant qu’un canal est spécialisé et contenant un registre de fréquence de basses fréquences, voir LFE) allant du système multimédia pour PC jusqu’aux systèmes pour concerts de grande ampleur en passant par le cinéma, le cinéma maison (home cinema) et la haute fidélité.

    Dès les débuts de l’utilisation des haut-parleurs pour reproduire le son, on s’est rendu compte que les différentes parties du spectre sonore exigeaient des transducteurs aux caractéristiques spécifiques, souvent antagonistes. C’est ainsi qu’on en est arrivé au principe d’enceinte acoustique à deux, trois voies ou plus, une voie étant constituée d’un haut-parleur dédié à une partie du spectre sonore. Dans la pratique, la restitution du grave s’est vite révélée la plus épineuse. Quantité de solutions ont été proposées mais leur évaluation a toujours été difficile en raison de l’interférence avec l’acoustique des salles et, en particulier, des salles de dimensions réduites.
    Au niveau grand public, une étape a été franchie lorsque Bose a présenté son système Acoustimass AM-5 en 1987 : conçu pour s’adapter aux équipements de l’époque, ce système réunissait un unique caisson pour la restitution du grave et deux ensembles de petites enceintes, pour le reste du spectre sonore. Son principe reposait sur l’idée que les sons graves sont pratiquement impossibles à localiser (en) en dessous de 200 Hz environ. Il est donc possible, dans ce registre, de restituer les deux canaux de la stéréo avec une seule enceinte acoustique dont l’emplacement dans le local d’écoute n’est pas critique. On gagne ainsi en encombrement mais aussi en souplesse d’installation, deux points essentiels pour les équipements domestiques.
    Si ce système a été très critiqué par les puristes de la haute fidélité, il a connu un succès d’autant plus évident que son principe a été très largement repris par bon nombre de concurrents et étendu à d’autres domaines que l’écoute domestique. Par exemple, au cinéma depuis la fin des années 70 et pour la sonorisation, chez HK Audio avec ses systèmes “LUCAS”. Ces systèmes sont souvent qualifiés de “triphoniques” car ils utilisent trois enceintes acoustiques (un caisson de grave et deux petites enceintes généralement baptisées “satellites” car indissociables du caisson) mais il s’agit naturellement d’ensembles offrant une restitution stéréophonique. Leur principe est aussi très largement exploité pour les systèmes multicanaux home cinéma ou multimédias avec cinq satellites.
    Le système Bose Acoustimass original et les réalisations concurrentes utilisaient un filtrage passif entre le caisson et les satellites car ils étaient adaptés à l’équipement le plus courant à cette époque : l’amplificateur stéréo haute fidélité. Par la suite, les constructeurs sont peu à peu passés au filtrage électronique, le caisson disposant de son amplification propre : le caisson de grave (ou “sub”) moderne était né. Les systèmes multimédias (et certains systèmes home cinéma) voient même le caisson intégrer l’ensemble de l’amplification et des filtres nécessaires au caisson et aux satellites ce qui en fait des systèmes compacts appréciés des utilisateurs n’ayant que peu d’espace à leur allouer.
    Les caissons de grave et subwoofers sont utilisés pour les trois premiers octaves du spectre sonore soit de 20 à 40 Hz, 40 à 80 Hz et 80 à 160 Hz, ceux où la localisation d’une source sonore est impossible ou très peu sensible. Leur fréquence de coupure haute dépend de leur conception et de la réponse des enceintes principales qui doivent prendre le relais pour la restitution du reste du spectre sonore. Il s’agit évidemment d’éviter un “trou” ou une “bosse” dans la réponse globale du système. Par exemple, un petit système multimédia verra son caisson de grave utilisé jusqu’à 160 Hz tandis qu’un système home cinéma de bonne taille ne l’utilisera que jusqu’à 80 Hz voire plus bas encore.
    Typiquement, un caisson de grave sera utile pour les fréquences comprises entre 30 à 40 Hz et sa fréquence de coupure haute (par filtrage) tandis que les modèles les plus ambitieux voient leur réponse s’étendre vers le bas jusqu’à 20 à 30 Hz. Dans la pratique, la plupart des musiques ne descendent guère en dessous de 40 Hz même si on a l’habitude de citer le cas de certains orgues, des musiques électroniques voire du piano. Le cas semble un peu différent avec les bandes sonores de certains films faisant un usage important de bruitages (explosions, véhicules roulants ou volants, etc.). Certains passionnés cherchent à reproduire les fréquences les plus basses du spectre sonore voire à étendre cette réponse dans le domaine infrasonore. Il s’agit là d’une démarche très marginale, les moyens à mettre en œuvre et leur maîtrise étant loin d’être à la portée de tous.
    Les passionnés souhaitent parfois faire une distinction entre “infra-grave”, “sous-grave” et grave. Cela n’a pas beaucoup de sens dans la mesure où toutes les fréquences sont restituées, le plus souvent robe sandro, par un même équipement bien que des différences existent au niveau de la perception des fréquences les plus basses crampons de football de puma pas cher. En effet, il faut tenir compte du fait que la notion de spectre sonore audible (traditionnellement 20 Hz – 20 kHz) est loin d’être aussi simple qu’il y paraît. L’audibilité d’une fréquence sonore dépend beaucoup de son niveau et il n’existe pas de limites franches des fréquences audibles mais une difficulté progressive à les percevoir au fur et à mesure qu’elle diminue (dans le cas qui nous occupe). Ainsi des fréquences très inférieures à 20 Hz peuvent être perçues et des normes concernant la mesure des infrasons ont été mises en place comme en atteste un article de la revue Acoustique et Techniques publié par l’INRS. Il reste à déterminer si les équipements disponibles peuvent diffuser des infrasons à un niveau suffisant pour être audibles ou sensibles ce qui n’est pas acquis (voir les courbes isosoniques pour complément d’information).
    Le choix de l’emplacement du caisson de grave dans la pièce d’écoute est très discuté. Souvent en fonction de considérations qui n’ont que peu à voir avec une analyse scientifique du problème. Objectivement, l’emplacement qui offre la meilleure répartition du niveau sonore dans la pièce est l’encoignure. Ce point a été parfaitement démontré par Alain Pouillon-Guibert (fondateur de la société APG) dans une série d’articles de la revue Sono Magazine. On peut retrouver des conclusions similaires dans les recommandations de certains constructeurs d’enceintes. Outre une meilleure répartition du niveau dans la pièce, ce positionnement permet également d’obtenir un niveau plus élevé et il faudra évidemment en tenir compte lors des réglages.
    Le multimédia, principalement le système audio accompagnant un ordinateur personnel, est un domaine où le caisson de grave connait une très large diffusion. En effet, il est primordial qu’un tel système reste de faible encombrement et la formule associant deux petits satellites à un caisson de grave s’est vite imposée comme étant la seule à permettre une restitution qui s’étende dans le grave sans envahir l’espace disponible. Typiquement euro de foot 2016 outlet, les systèmes disponibles sont constitués de satellites une ou deux voies de taille réduite à poser sur le bureau et d’un caisson de grave à poser au sol, sous le bureau où l’espace est généralement sous-utilisé. Ces systèmes sont bi-amplifiés (parfois tri-amplifiés en haut de gamme) avec évidemment un filtrage électronique entre caisson et satellites ce qui permet d’offrir un réglage de niveau relatif du caisson afin d’adapter le rendu sonore à l’acoustique du local et aux goûts de l’utilisateur. Toute l’électronique est logée dans le caisson et les commandes sont situées soit sur un des satellites soit un boîtier de commande. Certains systèmes disposent d’une télécommande infrarouge. Le caisson de grave utilise généralement un haut-parleur de 10 à 20 cm chargé en bass-reflex. La fréquence de recouvrement avec les satellites est typiquement de 120 à 160 Hz. La fréquence de coupure basse (autrement dit l’étendue de la réponse dans le grave) est très variable puisqu’elle va de 30 à 80 Hz environ suivant les ambitions du système.
    Outre les systèmes stéréophoniques, il existe des équipements multimédias multicanaux. Le but est naturellement de restituer les bandes sonores de films (codage Dolby Digital ou DTS) mais aussi d’offrir un son immersif pour les jeux et toutes les applications de réalité virtuelle. La configuration typique est basée sur un système 5.1 mais des ensembles 7.1 ont été commercialisés par des marques comme Creative. Les contraintes d’installation augmentant avec le nombre d’enceintes acoustiques, ces systèmes ne connaissent qu’un succès modéré et la plupart des systèmes 7.1 ont disparu du marché.
    Les ordinateurs portables, où la place disponible pour loger des haut-parleurs est des plus réduite, font (dans le haut de gamme) souvent appel à une sorte de caisson de grave miniature afin d’étendre un peu la réponse vers le bas du spectre. Même si les contraintes de taille limitent fortement les performances d’un tel système, le résultat sonore global s’en trouve sensiblement amélioré. Cette formule est également utilisée par bon nombre d’équipements audio nomades. Ces systèmes miniaturisés font souvent appel à un traitement numérique du signal générant des harmoniques des fréquences les plus basses pour améliorer le résultat subjectif.

    Ce genre de haut-parleur possède un moteur magnétique associé à une membrane relativement lourde (permettant d’abaisser la fréquence de résonance). La conception du moteur, la raideur de la suspension et d’autres paramètres viendront influencer le coefficient de qualité totale (QTS, qui est lié à QMS et QES), permettant ainsi d’optimiser le coefficient de surtension en fonction de la charge (le coffret/la caisse) prévue. La sensibilité en général diminue lorsque FS diminue ou QTS augmente, à moins d’augmenter le diamètre de la membrane pour compenser. Les deux principales limitations qui interviennent sont :
    – Les limites mécaniques : Le débattement augmentant avec la descente en fréquence, les haut-parleurs possèdent un Xmax (définition variable suivant le constructeur), qui détermine le déplacement où le comportement du haut-parleur reste linéaire. Intervient ensuite le Xmech ou Xlimit qui est la limite physique d’excursion avant le talonnage de la bobine mobile. Phénomène assurant la destruction rapide du haut-parleur si l’on insiste ou si la valeur est fortement dépassée.
    – Les limites électriques : Reproduire les basses fréquences exige de fortes puissances pouvant entrainer un échauffement excessif amenant rapidement la destruction du haut-parleur. Le rendement d’un haut parleur étant très souvent inférieur à 3% la majorité de la puissance absorbée se transforme en chaleur d’où l’importance de ce problème. Divers systèmes de dissipation thermique et de ventilation sont utilisés pour limiter la montée en température, par exemple le système VGC (Vented Gap Cooling) créé par JBL. Mais d’autres orifices au niveau du spider, des pièces polaires sont aussi utilisés pour optimiser la dissipation thermique au cœur du moteur et limiter la compression thermique.
    Les haut-parleurs subwoofer autorisent un ou plusieurs types de montages possibles qui dépendent principalement du coefficient de surtension total (QTS) et de la Fréquence de résonance (Fs) :
    Les règles de physique impliquent les corrélations suivantes :
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  • Don Cornelius

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    Donald Cortez Cornelius, plus connu sous le nom de Don Cornelius, né le 27 septembre 1936 à Chicago et mort le 1er février 2012 à Sherman Oaks, Californie, est un animateur et producteur de télévision américain.
    Après avoir commencé sa carrière dans l’audiovisuel sur une radio locale et effectué ses premiers pas à la télévision dans une station indépendante, Cornelius anime et produit l’émission de variétés Soul Train, diffusée à partir de 1970 dans la région de Chicago, puis vendue aux chaînes américaines en syndication dès l’année suivante. Il anime le show jusqu’en 1993 et tient le rôle de producteur jusqu’en 2006.

    Donald Cortez Cornelius grandit à Bronzeville, un quartier du South Side de Chicago. Il est scolarisé à la DuSable High School et obtient son diplôme d’études secondaires en 1954. Durant sa jeunesse, il espère devenir caricaturiste. Après ses études, il s’engage dans le Corps des Marines. De retour à Chicago après 18 mois passés dans l’armée, il se marie et exerce divers métiers maillots de football 2016. Il est notamment vendeur d’assurances puis agent de police crampons de football de puma pas cher,.
    En 1966, Cornelius suit des cours afin de trouver un emploi dans l’audiovisuel. Il devient disc jockey sur WVON (en), une station de radio locale, puis présentateur sportif de l’émission A Black’s View of the News diffusée sur la chaîne de télévision indépendante de Chicago WCIU-TV (en).
    Il propose le concept d’une émission de danse et de variétés aux responsables de la chaîne et réalise un épisode pilote. Soul Train débute à Chicago sur WCIU-TV en 1970. Cornelius déclare s’être inspiré d’American Bandstand, émission du présentateur Dick Clark durant laquelle le public danse sur des airs du hit-parade, en l’adaptant au public afro-américain, maillots de foots. À partir de l’année suivante, elle est produite à Los Angeles par Don Cornelius Productions et vendue aux chaînes américaines grâce au système de la syndication. Soul Train offre une visibilité nationale à de nombreux artistes soul et rhythm and blues,. Cornelius anime le show jusqu’en 1993, et produit de nouveaux épisodes jusqu’en 2006. Deux ans plus tard, il revend les droits de l’émission à une filiale de Vibe Holdings LLC.
    En 1975, Don Cornelius cofonde le label discographique Soul Train Records avec Dick Griffey, l’un des collaborateurs de l’émission. Deux ans plus tard, il se retire de l’affaire et laisse Griffey seul aux commandes du label, qu’il rebaptise Solar Records. Le producteur créé également les Soul Train Music Awards, puis les Lady of Soul awards, des récompenses destinées aux musiciens afro-américains robe sandro.
    Dans les années 1950, Don Cornelius épouse Delores Harrison avec laquelle il a deux enfants. Il se remarie en 2001 avec un mannequin russe, mais est accusé de violence conjugale par son épouse. Le producteur plaide d’abord non-coupable avant de reconnaître les faits. Il est condamné à une période de probation de 36 mois. Leur divorce est prononcé en 2009,.
    Cornelius souffre de problèmes de santé à la suite d’une opération chirurgicale, subie en 1982 afin de corriger une malformation congénitale des vaisseaux sanguins du cerveau.
    Le 1er février 2012, la police de Los Angeles est prévenue par un membre de sa famille, qui a trouvé Don Cornelius gisant avec une plaie à la tête à son domicile situé dans le quartier d’Encino. Son décès est déclaré au Centre médical Cedars-Sinai où il a été transporté.
    En 1997, Don Cornelius reçoit son étoile sur le Walk of Fame d’Hollywood. En 2005, la Recording Academy lui décerne un Grammy Trustees Award (en),.
     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.


  • Nicolas Calas

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    Nicolas Calas (grec moderne : Νικόλαος Κάλας) (né le 27 mai 1907 et mort le 31 décembre 1988) était le nom de plume de Nikos Kalamaris (grec moderne : Νίκος Καλαμάρης), poète et critique d’art grec naturalisé américain. Lors de sa jeunesse grecque, il utilisa d’autres pseudonymes

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    , Nikitas Randos (grec moderne : Νικήτας Ράντος) et M. Spieros (grec moderne : Μ. Σπιέρος).

    Nicolas Calas est né Nikos Kalamaris à Lausanne, en Suisse, le 27 mai 1907 mais il grandit à Athènes. Fils unique de Ioannis Kalamaris, héritier d’une famille d’armateurs et de propriétaires terriens originaire de l’île de Syros, et de Rosa Caradja, qui était l’arrière petite-fille de Markos Botzaris, chef militaire et héros de la guerre d’indépendance grecque, elle descendait de la famille noble phanariote Caradja qui fournit des hauts-fonctionnaires à l’Empire ottoman ainsi que les dirigeants successifs des Principautés danubiennes. Calas se rebella contre ses origines sociales favorisées en adhérant au trotskysme, alors fortement influencé dans son choix politique radical par la tragédie humaine causée par la Catastrophe d’Asie mineure de 1922. En effet, Calas fut le témoin oculaire de l’arrivée en masse dans les rues d’Athènes des réfugiés fuyant la guerre gréco-turque.
    Entre 1925 et 1930, Calas suivit des études de droit et de science politique à l’université d’Athènes où il devint un membre actif de l’organisation radicale La Société des étudiants. Bien qu’ayant travaillé dans un cabinet de juristes entre 1930 et 1934, il abandonna rapidement la carrière qui lui était promise pour se concentrer sur l’écriture de poésies, de critiques littéraire et politique, dans un style de polémiste tant sur le fond que sur la forme. Ses textes critiques, le plus souvent publiés sous le pseudonyme de M. Spieros (un choix influencé par le nom du révolutionnaire français Robespierre), furent publiés dans différentes revues littéraires et politiques grecques entre 1929 et 1938. Il s’attaquait à des sujets divers, tels que le cinéma, la politique ou la littérature. C’est ainsi qu’il fut le premier à analyser la poésie de Constantin Cavafy dans une perspective freudo-marxiste.
    La poésie de Calas, publiée sous le pseudonyme de Nikitas Randos, subit de multiples changements stylistiques qui reflètent sa curiosité artistique ainsi que son intérêt pour les tendances modernes du début du XXe siècle, que ce soit le futurisme, l’expressionnisme ou le surréalisme. Son premier recueil, intitulé Poèmes (Ποιήματα), fut publié en 1932. L’un des premiers représentants du modernisme en Grèce, Calas était clairement en avance sur son temps, et dut, en conséquence, essuyer des critiques défavorables. Ce premier ouvrage fut suivi de quatre carnets « poétiques »” (Tetradia, Τετράδια Α’-Δ’) diffusés hors-commerce entre 1933 et 1936.
    Entre 1934 et 1937, Calas partagea sa vie entre Athènes et Paris où il devint rapidement membre du groupe surréaliste affilié à André Breton. À la suite du coup d’État militaire du général Metaxas

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    , le 4 août 1936, le climat répressif qui s’installe en Grèce le force à quitter le pays et à s’installer de façon permanente à Paris à partir de 1937. Il y écrit des poèmes en français fortement influencés par sa plongée au cœur de la poétique surréaliste et restés inédits à l’époque. Un édition bilingue en fut donnée en Grèce en 2002. En 1938 Calas publia chez Denoël un livre de critique freudo-surréalisto-trotskiste, Foyers d’incendie, dans lequel on ressent les influences des théoriciens de l’École de Francfort, de Wilhelm Reich en particulier, ainsi que celle du manifeste Pour un art révolutionnaire indépendant formulé par Léon Trotsky, Diego Rivera et André Breton à Mexico en 1938.
    Forcé de quitter la France au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, Calas rejoint Lisbonne en octobre 1939 le temps pour lui de trouver une place sur un bateau en partance pour les États-Unis. Durant les quelques mois de son séjour, il étudia l’architecture baroque de la ville tout en essayant de former un groupe surréaliste. Il put finalement quitter l’Europe au début de l’année 1940, après avoir obtenu un visa grâce à l’aide de son amie américaine Sherry Mangan, poète trotskyste et journaliste au Time magazine.
    Calas est l’un des tout premiers surréaliste à arriver à New York en 1940. Il y vit jusqu’à sa mort en 1988, travaillant principalement en tant que critique d’art pour d’importantes publications telles que View, Village Voice, Arts Magazine et Artforum. Le temps pour lui de se ménager une niche en tant que critique d’art et conférencier, il gagna sa vie grâce à des petits boulots. De 1942 à 1945 il fut embauché par les départements français et grecs de l’Office of War Information, ainsi que par le département Balkans de l’Intelligence Service. Son premier livre en anglais, Confondre le sage (Confound the Wise), publié en 1942, est un recueil d’essais traitant de poésie, du baroque portugais, du portrait en peinture et d’architecture moderne. En 1943 il épousa une femme divorcée Elena von Hoershelman, psychanalyste née en Russie, avec laquelle il collabore à de nombreux projets de recherche, à des articles ou à des livres. Pendant quelques années ils travaillent ensemble au Projet d’Étude des Cultures Contemporaines mené par l’université Columbia. C’est à ce moment-là que Calas devint chercheur-associé et consultant auprès de la fameuse anthropologiste Margaret Mead. En 1953, leur collaboration aboutit à la publication d’une anthologie de l’Héritage primitif (Primitive Heritage).
    Calas bénéficia de trois bourses successives de la Fondation Bollingen (1949-1951) dans le but d’écrire une étude sur le triptyque de Jérôme Bosch intitulé Le jardin des Délices, mais il échoua à faire publier son travail, ce qui le conduisit à réécrire le manuscrit jusqu’à la fin de sa vie crampons de football de puma pas cher. À partir des années 1960, Calas entame sa carrière de critique d’art et de conférencier en histoire de l’art à l’université Fairleigh Dickinson dans le New Jersey. Calas fut l’un des seuls surréalistes à s’intéresser aux nouvelles tendances qui agitèrent les arts américains dans les années soixante, ainsi, il écrivit beaucoup sur le Pop art tout en promouvant un redéfinition des buts et des moyens d’expressions du surréalisme. Nombre de ses essais ont été réunis et publiés en volumes : L’Art à l’ère du Risque (1968, Art in the Age of Risk), Icônes et images des Sixties (1971, Icons and Images of the Sixties) et Transfigurations (1985). Conséquence du coup d’État des Colonels qui eut lieu en Grèce en 1967, l’exil du révolutionnaire grec et trotskyste Michalis Raptis (Pablo) à New York permit aux deux compatriotes de collaborer au sein du mouvement de résistance extérieure.
    Après avoir passé quelque temps en Grèce durant les années cinquante afin de régler les affaires familiales à la suite de la mort de son père, Calas recommença à écrire en grec des poèmes obscurs et satiriques. Ces poèmes furent d’abord publiés par le journal d’avant-garde Pali (Πάλι) au cours des années soixante, lui permettant d’effectuer son grand retour en Grèce, pays qui avait jusque-là ignoré ou négligé son œuvre de poète. Ses anciens et ses nouveaux poèmes furent publiés dans deux recueils : Rue Nikitas Randos (Οδός Νικήτα Ράντου) qui obtint le prix national de la Poésie en 1977 et Inscriptions et Lumières (Γραφή και φως) en 1983. L’intérêt pour ses écrits ne fait qu’augmenter en Grèce où il est maintenant reconnu comme un poète novateur, un éminent représentant du modernisme et comme un pionnier du surréalisme grec robe sandro.
    À sa mort en 1988, suivie l’année d’après par celle de sa femme Elena, leur collection d’art fut léguée au musée d’art moderne Louisiana qui se trouve dans la banlieue de Copenhague au Danemark. Les Archives de Nicolas et Elena Calas se trouvent à la Bibliothèque nordique d’Athènes.