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  • Radislav Krstić

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    Radislav Krstić, né le 15 février 1948, est un général serbe de Bosnie condamné par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie comme l’un des organisateurs du massacre de Srebrenica, commis contre des Bosniaques lors de la guerre de Bosnie maillots adidas en ligne, en juillet 1995.
    Le 2 août 2001, le TPIY l’a reconnu coupable de génocide et l’a condamné à 46 ans de prison pour son rôle dans le massacre de milliers de Bosniaques à Srebrenica 2016 soccer jerseys en ligne.
    Cependant celui-ci fit appel de cette décision et le 19 avril 2004, la chambre d’appel le prononça non coupable de génocide mais retint l’accusation de complicité dans un génocide. Sa peine fut réduite de 11 ans.
    Le 20 décembre 2004, il fut transféré et incarcéré au Royaume-Uni dans la prison de Wakefield pour purger sa peine de 35 ans d’emprisonnement crampons de football de puma pas cher.
    Le 7 mai 2010, il a été retrouvé battu, et la gorge coupée, dans sa cellule et conduit aux urgences dans un état critique. Trois détenus sont suspectés de cette tentative d’assassinat: L’un d’entre eux, Indrit Krasniqi, un Albanais du Kosovo ancien de l’UÇK a été condamné à perpétuité en 2006 pour participation à la torture sandro femme, au viol et meurtre de Mary-Ann Leneghan, un autre est un Bosniaque Musulman.
    Il a ensuite été déplacé vers une prison aux Pays-Bas et devrait être fin mars 2013 envoyé dans une autre prison en Pologne.


  • Campagne nationale du Costa Rica (1856-1857)

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    Traduit entièrement de wikipedia en espagnol
    La Campagne Nationale du Costa Rica (1856-1857) fut un conflit militaire qui se développa entre mars 1856 et mai 1857, entre la République du Costa Rica et l’armée des filibustiers américaine au commandement de William Walker, à la suite de l’occupation du Nicaragua depuis 1855 karen millen france 2016.  Le terme “Campagne Nationale” a été frappée par le Président Juan Rafael Mora à l’époque, avec pour objectif de démarquer la transcendance de la guerre qu’allait se livrer pour garantir la liberté et souveraineté des peuples centroamericains contre leur envahisseur. En raison de ceci, le nom “Campagne Nationale” est utilisée essentiellement au Costa Rica pour définir les événements qu’ont impliqué la participation directe de ce pays dans le conflit.  Autres termes utilisés au Costa Rica pour définir ce conflit sont ceux de Guerre de 1856, Guerre contre les filibustiers et plus récemment, Guerre pour la Patrie.
    Au Nicaragua, l’ensemble des évènements de la guerre civile entre legitimistes et démocrates qu’a amené William Walker au pouvoir et qu’ont motivé la participation costaricienne dans le conflit est connu comme Guerre Nationale du Nicaragua maje soldes. Finalement, au niveau de Centroamérican, l’ensemble des conflits est connu comme  Guerre Nationale Centroamericaine ou Guerre centroamericaine contre les filibustiers.
    La Campagne Nationale impliqua directement le Costa Rica et le Nicaragua, et dans une moindre échelle, les autres pays centroaméricains, et de forme indirecte, les États-Unis, le Royaume-Uni et le Second Empire Français.
    Historiquement, le conflit est divisé en deux phases de développement stratégique militaire: la première entre mars et avril de 1856, qui débuta avec la bataille de Santa Rosa (20 mars) sacs lancel pas cher 2016, au Guanacaste, continua avec le combat de Sardinal (10 avril), à Sarapiquí, au Costa Rica, et qui termina enfin avec la bataille de Rivas (11 avril) au Nicaragua. L’apparition de la peste du choléra motiva le retrait des troupes costariciennes après la bataille.
    Surpassée l’épidémie du choléra, la deuxième phase, connue historiquement comme la Campagne du Transit, prit le relais.  Celle-ci commença en novembre 1856 et termina en mai 1857.  La Campagne du Transit eut pour objectif principal le contrôle fluvial du Rio San Juan.  Celle-ci s’engagea le 22 novembre avec la bataille du port de San Juan del Sur, elle se poursuivit avec le combat de la Trinidad (22 décembre), ainsi que la prise des bateaux à vapeur flibustiers (23 décembre), des combats du Castillo Viejo (16 février 1857), du Fort de San Carlos (février-mars) et de l’île Ometepe (mars-avril), pour terminer avec les batailles de San Jorge (mars-mai) et de Rivas (avril-mai), qui impliquèrent les autres républiques centroamericaines.
    La Campagne Nationale du Costa Rica termina avec la reddition de William Walker le 1er mai 1857. La Campagne Nationale du Costa Rica est considérée comme une étape importante de l’histoire du pays, étant donné qu’elle a donné impulsion au procès de construction de l’État-Nation au Costa Rica, et qu’elle représente la consolidation de l’indépendance, ainsi que le début du procès de formation de l’identité nationale.


  • Merten (Moselle)

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    Merten est une commune française, limitrophe de la Sarre, située dans le département de la Moselle et la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine. Elle est localisée dans la région naturelle du Warndt et dans le bassin de vie de la Moselle-Est maillots de foot. Ses habitants sont appelés les Mertenois en français et les Méertener en francique euro de foot 2016 outlet.

    Le village de Merten se situe en pays de Nied ainsi que dans une large vallée du Warndt

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    , à quelques centaines de mètres seulement de la frontière franco-allemande, ou plus précisément entre la Lorraine et la Sarre. La localité sarroise voisine est Bisten. Le petit village de Bibling est annexe de la commune.
    Le nom de la localité dériverait de celui de Rosmerta, déesse gallo-romaine de la fertilité et de l’abondance.
    Dépendait de l’ancienne province de Lorraine. Incorporé à la Prusse en 1815 maillots adidas en ligne, revint à la France en 1827.
    Le village voisin de Villing devient annexe de la commune entre 1974 et 1981, date du rétablissement de son statut de commune indépendante.
    En 2013, la commune comptait 1 560 habitants. L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[Note 1],[Note 2].
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  • Harmonisation et accompagnement du chant grégorien

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    Les harmonisation et accompagnement du chant grégorien sont quelques manières de l’exécution du chant grégorien, ou historiquement du plain-chant aussi, mais celles qui étaient toujours discutées ou opposées, en comparaison de l’unisson.
    De nos jours, l’accompagnement de l’orgue est formellement autorisé et parfois recommandé, à la suite du concile Vatican II.
    Dans le contexte historique et sémiologique, il reste cependant des questions, étant donné que l’orgue n’existait pas encore lors de la composition du chant grégorien.

    On ignore ceux qui concernent pendant les premiers siècles du chant grégorien, à l’exception du mouvement de la polyphonie. Toutefois, il est certain que la pratique de ce chant était toujours effectuée à l’unisson, sans modification, jusqu’à ce que la Renaissance arrive. En effet, les études des manuscrits dans les archives européennes indiquent qu’une immense uniformité du chant se conservait jusqu’au XVIIe siècle. Par exemple, Dom Mocquereau de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes trouva que sont identiques un manuscrit d’Ivrée du XIe siècle et celui du XVIIe siècle dans la même région.
    Apparu au XVe siècle, le faux-bourdon pour le plain-chant fut officiellement autorisé en 1600 par le pape Clément VIII, en raison de sa composition parfaitement homophonique. Car, au contraire de la polyphonie, les fidèles peuvent entendre correctement le texte. Il s’agissait du premier cérémonial de l’Église, Cæremoniale episcoporum jussu Clementis VIII, Pont. Max. novissime reformatun, omnibus Ecclesiis, præcipea autem Metropolitanis, cathedralibus & collegiatis perutile ac necessarium[dl 1], qui admettait l’usage de celui-ci, afin de célébrer plus solennellement les psaumes des vêpres ainsi que pour les hymnes et quelques antiennes[dl 2]. Ainsi, le chœur pouvait sélectionner entre les deux manières, soit à l’unisson en grégorien, soit en faux-bourdon, pour le verset Deus in adjutorium[dl 3] lors du commencement des offices de la liturgie des Heures.
    Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, celui-ci fut rapidement remplacé par l’accompagnement de l’orgue. Comme sa nature ne respecte pas la caractéristique du chant grégorien fortement monodique, le faux-bourdon est aujourd’hui en dehors de l’usage, à l’exception de quelques groupes vocaux herve leger paris.
    Depuis le XVIe siècle, le chant grégorien subissait sa transformation en plain-chant, à cause de plusieurs circonstances : notation à gros carrés depuis le XVe siècle, critiques du mouvement de la Renaissance puis de la Réforme luthérienne, alourdissement par la pratique du faux-bourdon ou du contrepoint improvisé[dl 4]. Toutefois, le chant grégorien était confirmé en tant que chant liturgique de l’Église par excellence dans ce cérémonial de Clément VIII[dl 4], fixé en 1600.
    Par ailleurs, le document admettait également l’accompagnement de l’orgue. Plus précisément, il contient d’un chapitre, intitulé De Organo, organista, & musicis, seu cantoribus, & norma per eos servanda in divinis[dl 1].
    Selon ce chapitre, les célébrations en présence de l’organiste et des musiciens devaient être limitées. Il s’agissait de tous les dimanches et de toutes les fêtes chômées, à l’exception des dimanches de l’Avent et du Carême. Concernant la liturgie des Heures, les offices des matines, vêpres étaient admis, tout comme la messe. Lorsque l’office de tierce précédait immédiatement la messe, l’orgue pouvait le soutenir, à condition que la coutume des lieux l’autorise[dl 5],[dl 6].
    En fait, ce grand document précisait encore. En dépit de l’absence d’orgue durant les offices des matines ou du nocturne, pour le dimanche, l’organiste pouvait assister à la fin du troisième nocturne, afin d’alterner avec le chœur. Il s’agissait de l’hymne Te Deum. De même, il était possible, lors des laudes, de dialoguer avec le chant, pour l’hymne et surtout le cantique de Zacharie, ainsi qu’à la fin des psaumes[dl 7].
    Au regard de la messe, celle-ci devait se commencer à l’unisson et en grégorien[dl 8]. Au contraire, les Kyrie, Gloria, Sanctus et Agnus Dei pouvaient été exécutés par l’alternance entre le chant en grégorien et l’orgue[dl 9]. Il est possible que cette façon fût une opposition à la richesse de la messe polyphonique de l’époque. Pour terminer, le Deo gratias était chanté en grégorien, ou en faux-bourdon[dl 10].
    En 1615, l’usage du cérémonial eut lieu en France[dl 11]. Aussi la cathédrale de Troyes établit-elle en 1630 un règlement vraiment précisé, selon ce livre liturgique. Notamment, la registration (jeu) y était strictement déterminée, d’après le degré de gravité[dl 12] :
    « [Aux premières vêpres des fêtes solennelles], l’organiste doit toucher l’orgue au Ve psalme du ton de la Ve antienne, verset au verset avec le chœur qui répond en faux-bourdon ; [il] doit toucher l’hymne, et le chœur répond ; les Ier et derniers versets desdits psaumes et hymne est [sic] touché en plein-jeu, les autres en jeux particuliers, à moins qu’un psalme ou hymne qui, n’ayant que 3 versets ou strophes, auquel cas le IIe jeu que l’organiste touche en un jeu particulier, parce que deux pleins-jeux se suivraient consécutivement sans interruption[dl 12]. »
    Sous le règne du roi de France Louis XIII († 1643), deux joueurs du cornet à bouquin étaient singulièrement autorisés auprès de la Chapelle royale, si cette dernière comptait 51 effectifs. À la suite du couronnement de Louis XIV († 1715), elle accueillit plusieurs instrumentistes tels les joueurs de violon, de flûte traversière. En effet, le Roi Soleil savait bien que la musique pouvait renforcer le prestige des princes[dl 13]. Alors que la célébration de la grande messe du dimanche et des fêtes demeurait ecclésiastique, celle de la semaine était dorénavant accompagnée de l’ensemble des instruments, à savoir avec l’exécution des motets[cm 1].
    Certes, le chant ecclésiastique conservait encore ses dignité et supériorité et résistait à Versailles. Ainsi, en octobre 1722, le jour où le nouveau roi Louis XV fut sacré à la cathédrale Notre-Dame de Reims, un Te Deum fut chanté en plain-chant, vraisemblablement en grégorien à l’unisson, ou en faux-bourdon. En fait, la version du grand motet de Michel-Richard de Lalande avait été préparée pour cette célébration. Au dernier moment, « un ordre de le chanter en plain chant » fut dénoncé[cm 2], probablement par le maître de chapelle, Charles-Louis-Auguste Le Tonnelier de Breteuil, évêque de Rennes maje robe. Cependant, à la Chapelle royale, le plain-chant devint progressivement un élément des motets, tels le grand motet Dies iræ (S.31) ainsi que le petit motet Miserere mei Deus secundum (S. 87) de Lalande.
    Moins intéressé à la musique, le roi Louis XV réduisit sérieusement, en 1761, la taille de chapelle, en supprimant pareillement le maître ecclésiastique de celle-ci, en raison de sa dépense annuelle considérable, et non selon la raison liturgique.
    À dire vrai, l’exécution à la cour si puissante de Louis XIV était un cas particulier. Lorsque ce souverain voulait ajouter les violonistes à la Chapelle royale, l’un des sous-maîtres depuis Louis XIII, sans doute musicien ecclésiastique Pierre Robert, aurait tenté de persuader le roi de ne pas les y introduire, en citant la contradiction du concile de Trente.
    Environ cent ans plus tard, en 1750, l’abbé Léonard Poisson précisait la situation de l’époque :
    « De grandes églises comme celle de Lyon & celle de Sens n’en admettent point d’autres [> que le plain-chant]. Et ce n’est que très-récemment que l’Église de Sens a admis l’Instrument appellé (sic) Serpent. On n’employoit que les voix, qui toutes chantoient à l’unisson, encore préféroit-on les voix appellées, Tailles, sonores & concordantes aux grosses voix appellées Basses-contres, & on n’y connoissoit d’autre Instrument que l’Orgue. Le Cardinal Bona, dit qu’il n’y a point d’Orgue dans la Chapelle du Pape. L’Église de Lyon n’en a point non plus, ni aucun autre Instrument. »
    — Léonard Poisson, Traité théorique et pratique du plain-chant, appelé grégorien, dans lequel on explique les vrais principes de cette science, …, 1750, p. 22 [lire en ligne]
    Le pape Benoît XIV qui avait proclamé, le 19 février 1749, une constitution au regard de ce sujet. Dans cette bulle, le Saint-Père recommandait officiellement que le chant grégorien soit exécuté à l’unisson, vocibus unisonis, en raison de sa solennité. Quant aux chants harmonisés, il s’agissait des chants au second rang, à cause des paroles confuses et moins intelligibles. De plus, Benoît XIV choisit rigoureusement les instruments autorisés dans les églises maillots adidas en ligne, après avoir consulté des spécialistes dont des maîtres de chœur. Ceux qui restaient favorables n’étaient pas nombreux : l’orgue, le basson, le violoncelle, le violon et la viole de gambe qui sont capables de corroborer et de soutenir la voix de chantres. Tout autres instruments furent exclus, car ils excitaient la musique trop théâtrale.
    En dépit des vœux du pape Benoît XIV, le XVIIIe siècle favorisait de plus en plus la pratique des instruments dans les églises. La cathédrale Notre-Dame de Rodez conserve effectivement les noms des instrumentalistes, tels ceux des maîtres de chœur, grâce à un grand nombre de documents dans ses archives. Les musiciens y exécutaient leur accompagnement déjà dans les années 1730. Le choix des instruments par Benoît XIV était quasiment respecté, à l’exception de l’hautbois, c’est-à-dire des artistes invités pour la célébration des fêtes. La paroisse hésitait toujours à dépenser au regard du basson jusqu’en 1747, hormis l’occasion de cette célébration de l’Assomption. Le premier contrat avec un joueur de cet instrument fut conclu le 16 août 1747, un mois plus tard. Quant aux organistes, la cathédrale comptait 17 musiciens, depuis qu’Anthoine Rivallier avait succédé à Pierre Chambert le 25 novembre 1637, et jusuqu’à ce qu’un certain Sauvage y arrive le 21 décembre 1777.
    (selon Françoise Talvard, La Maîtrise de la cathédrale de Rodez au XVIIe et XVIIIe, 2005 [lire en ligne] Cahier PHILIDOR 031, Centre de musique baroque de Versailles) :
    Strictement, l’harmonisation et l’accompagnement du chant grégorien n’existaient guère, au XIXe siècle.
    D’abord, dans la deuxième moitié de ce siècle-là, le faux-bourdon à la base du plain-chant fut rapidement remplacé par l’orgue[ag 1]. De plus, la pratique du plain-chant subit son déclin surtout en France, car de nombreux diocèses renoncèrent le rite romain, en faveur du gallicanisme. Ensuite, pour la Schola cantorum au sein du Vatican conservant encore la tradition du plain-chant, le Saint-Siège choisit une nouvelle Édition médicéenne en octroyant, en 1870, 30 ans de privilège à une édition de Ratisbonne, même s’il ne s’agissait pas d’édition officielle. En effet, à cette époque-là, cette édition était faussement attribuée à Giovanni Pierluigi da Palestrina tandis que c’était une version discutable et loin du chant grégorien correct. Enfin, un certain nombre de musicologues tels Félix Danjou, Louis Lambillotte, puis, des moines de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes commencèrent à restaurer le chant grégorien, vers la version authentique. Étant donné que n’existe aucune notation ancienne et accompagnée d’instrument, leur représentation était singulièrement tenue à l’unisson. Donc, au XIXe siècle concernant le chant grégorien, la pratique des harmonisation et accompagnement quasiment n’existait pas.
    Toutefois, il n’est pas inutile à connaître un nouveau phénomène dans ce siècle, « harmonisation habituelle du plain-chant[ag 1] », car en raison de ce mouvement, les caractéristiques des chants liturgiques anciens dont le chant grégorien étaient désormais considérablement menacées :
    « En France, les organistes semblent avoir oublié et méconnu si complément le but auquel ils devaient tendre, qu’il n’est presque plus permis d’entrer dans une église sans se voir poursuivi par les airs de dance à la mode ou le motif favoir du dernier opéra. »
    — Louis Girod, De la musique religieuse, chapitre XI, p. 165
    « L’accompagnement du plain-chant repose sur quelques règles très-simples. La première et la plus fondamentale est celle-ci : L’EMPLOI EXCLUSIF, DANS CHAQUE MODE, DES SONS DE L’ÉCHELLE. Cette règle est malheureusement méconnue de la plupart des organistes, des maîtres de chapelle et même d’un bon nombre de musiciens instruits. »
    — Joseph d’Ortigue et Louis Niedermeyer, Traité théorique et pratique de l’accompagnement du plain-chant, nouvelle édition en 1876, p. 35 [lire en ligne]
    Le 26 avril 1842, la discipline de la bulle du pape Benoît XIV fut à nouveau confirmée par Engelbert Sterckx, cardinal-archevêque de Malines en Belgique et défendeur du chant grégorien :
    « Si on fait accompagner le chant par des instruments de musique, il faut qu’ils servent uniquement, d’après l’avis de Benoît XIV, Constit. citée §. 12, à ajouter de la force au chant, afin que le sens des paroles pénètre mieux dans le cœur de ceux qui écoutent, que l’esprit des fidèles soit excité à la contemplation des choses spirituelles, et à l’amour de Dieu et des choses divines. On doit donc prendre garde que les instruments ne couvrent la voix des chantres, et n’étouffent, pour ainsi dire, le sens des paroles. »
    — Décret de son éminence le cardinal Sterckx, archevêque de Malines, concernant le Chant et la Musique d’Église, accompagné d’une traduction française et d’observations, à l’usage des Maîtres de Chant et de Musique, article VI [lire en ligne]
    Le compositeur Franz Liszt († 1886) étudiait profondément le chant grégorien, en souhaitant que ses futures œuvres religieuses soient officiellement admises par l’autorité de l’Église[eg39 1]. Finalement, il trouva sa conclusion d’après ses études, en prévoyant le motu proprio Inter pastoralis officii sollicitudes (1903) du pape Pie X.
    Certes, il s’intéraissait d’abord à l’harmonisation du faux-bourdon. Inspiré du De profundis en faux-bourdon, le jeune compositeur avait écrit en 1835 le Psaume instrumental pour piano et orchestre,[eg39 2]. Puis, vers 1860, il acheva une vaste collection consistée des répons avec les versets, doxologies et antiennes, harmonisés à quatre voix, et accompagnés des textes mais sans indication d’effectif vocal ou instrumental[eg39 3] crampons de football de puma pas cher.
    Cependant ce musicien catholique écrivit, le 24 juillet 1860, à la princesse Carolyne de Sayn-Wittgenstein :
    « Quand il y aura lieu j’en tracerai préalablement le plan très simple en lui-même, car il s’agit là par-dessus tout de fixer ce qui est im[m]uable dans la Liturgie catholique, tout en l’appropriant aux exigences de la notation actuellement en usage sans laquelle il n’y a pas moyen d’obtenir une exécution précise et satisfaisante. Tous les instrumen[t]s d’orchestre seraient écartés — et je conserverai seulement un accompagnement ad libitum d’orgue pour soutenir et renforcer les voix. C’est le seul instrument qui ait un droit de permanence dans la musique d’Église, moyen[n]ant la diversité de registres on pourra ajouter aussi un peu plus de coloris[eg39 4] ; … »
    En effet, à mesure que ses études étaient approfondies, il comprit que la dimension du chant grégorien est fortement monodique[eg39 5]. Désormais, il commença à composer ses œuvres de la musique sacrée, mais en conservant ces trois points suivants[eg39 4] :
    Ce jugement fut suivi de celui d’Olivier Messiaen. De fait, après avoir écrit son O sacrum convivium en 1937, il redécouvrit le chant grégorien : « Le chant grégorien est le plus beau trésor que nous possédions en Occident. », « De chant liturgique, il n’en existe qu’un : le plain-chant. » Dorénavant, il ne composa aucun nouveau motet liturgique.
    En 1895, le patriarcat de Venise Giuseppe Sarto, futur pape Pie X, dénonça les disciplines du chant liturgique de l’Église :
    « L’antique chant grégorien traditionnel devra donc être largement restitué dans les fonctions du culte ; et tous tiendront fermement qu’une fonction ecclésiastique ne perd rien de sa solennité quand elle n’est accompagnée d’aucune autre musique que de celle-là. »
    — Cardinal Sarto, futur pape Pie X, Lettre pastorale sur le chant d’Église, le 1er mai 1895
    Le 22 novembre 1903, fête de sainte Cécile, à savoir patronne de la musique et des musiciens, le nouveau pape Pie X expédia son motu proprio Tra le sollecitudini en italien. En tant que défenseur de la restauration du chant grégorien depuis sa jeunesse, il commença à concentrer sur l’une immense centralisation de la liturgie romaine, avec ce motu proprio. Surtout, le pape y chargeait aux chantres le plus haut niveau, en tant que célébrant ecclésiastique : « Les chants réservés au célébrant à l’autel et aux ministres doivent toujours et exclusivement être en chant grégorien, sans aucun accompagnement d’orgue … » Si le Saint-Père précisait que la musique propre de l’Église demeure la musique purement vocale, l’usage de l’orgue était admis. Au regard des instruments, l’autorisation serait donnée comme exception : « En certains cas particuliers, on admettra aussi d’autres instruments, dans de justes limites et avec les précautions convenables, mais jamais sans une autorisation spéciale de l’Ordinaire, selon la prescription du Cérémonial des évêques. » L’usage du piano était interdit, tels le tambour, les clochettes. Enfin saint Pie X confirma : « Comme le chant doit toujours primer, l’orgue et les instruments doivent simplement le soutenir, et ne le dominer jamais. »
    Le début du XXe siècle se caractérise de nombreuses publications de livres de chant en grégorien mais accompagnés de l’orgue, quoique la restauration de ce chant de l’Église authentique, désormais chant officiel par excellence, fût effectivement promue sous le pontificat de saint Pie X. On ignore la raison de ce phénomène. Il semble toutefois que ce chant monodique ne fût pas à la mode, surtout lors de la Belle Époque. Il est vrai qu’Outre-Manche aussi, le même phénomène était constaté. Dans les années 1840, plusieurs republications du livre de John Merbecke, le premier livre de chant anglican sorti en 1550, furent exécutées, en rendant hommage à son origine, chant grégorien. En dépit de l’intention des éditeurs, les plain-chants restaurés de Merbecke n’étaient chantés, auprès des paroisses, que harmonisés à quatre voix ou accompagnés de l’orgue. Une autre explication se trouverait dans le motu proprio de saint Pie X. Ce dernier y interdit toutes les musiques de théâtre dans les églises, car au XIXe siècle, cette pratique était considérablement effectuée lors des offices, notamment en Italie. Vraisemblablement, il fallait orner le chant grégorien selon le goût de l’époque, à savoir la période où l’opéra était vraiment apprécié, de sorte que ce chant modeste soit effectivement accepté par les fidèles.
    D’ailleurs, un livre d’Amédée Gastoué concernant ce sujet, Traité d’harmonisation du chant grégorien, sur un plan[ag 1] sorti en 1910, est vraisemblablement capable de nous aider comprendre la circonstance de cette période. En tant que professeur du chant grégorien, l’auteur l’enseignait auprès de la Schola Cantorum de Paris et de l’Institut catholique de Paris. Surtout, il était l’un des dix consulteurs de la Commission pontificale grégorienne, créée en 1904 par le pape Pie X et constituée de vingt spécialistes européens pour la rédaction de l’Édition Vaticane. Selon ce livre, on sait qu’il fallait régler encore l’accompagnement d’orgue, afin d’adapter au mode du chant grégorien. Il est évident que la Schola Cantorum de Paris, conservatoire privé et fondé par Charles Bordes en 1894, voulait promouvoir cette propre adaptation. Mais le livre demeurait non seulement dans le domaine musical mais également dans les règles de la liturgie. À partir de la page 118[ag 2], Gastoué devait préciser ceux qui concernaient dans ce domaine. Auparavant, les établissements pratiquant l’orgue avaient été limités, telles les cathédrales. Dorénavant, quelle que soit la taille d’église, l’accompagnement de l’orgue était exécuté.
    Dans ce livre de Gastoué, un certain nombre de partitions se présentent, en tant qu’exemples grâce auxquels l’on peut établir une liste de spécialistes de l’accompagnement.
    Comme certains personnages importants ainsi que même l’organiste de Solesmes se trouvent dans cette liste, il est évident que l’accompagnement de l’orgue n’était pas un phénomène limité.
    Avec la Constitution sur la sainte liturgie (1963), le concile Vatican II dénonça sa conclusion au regard de ce sujet :
    « Il convient aussi que l’on procure une édition contenant des mélodies plus simples à l’usage des petites églises. »
    — Sacrosanctum Concilium, article n° 117, L’édition des livres de chant grégorien
    « On estimera hautement, dans l’Église latine, l’orgue à tuyaux comme l’instrument traditionnel dont le son peut ajouter un éclat admirable aux cérémonies de l’Église et élever puissamment les âmes vers Dieu et le ciel. »
    — Sacrosanctum Concilium, article n° 120, L’orgue et les autres instruments de musique
    Dorénavant, de sorte que soient célébrés, sans difficulté, les offices en grégorien auprès des églises et des paroisses de petite taille, l’usage convenable de l’orgue est recommandé.
    Ainsi les Éditions de Solesmes publièrent-elles le Liber cantualis comitante organo en 1981, puis entre 1984 et 1986, trois tomes du Graduale romanum comitante organo, afin de soutenir ces vœux du concile. Ceux-ci avaient été préparés par l’abbé Ferdinand Portier :
    L’orgue demeure également un moyen pour distinguer la gravité des offices. Ainsi, la célébration des matines est tenue sans accompagnement alors que celle des laudes, plus solennelle, s’accompagne de l’orgue, auprès de l’abbaye Notre-Dame de Fontgombault. Celle de la vigile pascale auprès de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes respecte son exécution purement vocale. À la messe suivante, à savoir après la résurrection du Christ Rédempteur, l’orgue se rejoint.
    De nos jours, quelques ensembles vocaux ont tendance à expérimenter de nouvelles manières. Ainsi, la Schola cantorum Riga essaya une collaboration avec le saxophone, quoique ce dernier n’ait jamais été employé dans l’histoire de la liturgie . Le Consortium Vocale Oslo auprès de la cathédrale d’Oslo chanta en 2013 une messe en grégorien, en collaboration avec Eivind Aarset, guitariste norvégien, mais celui de Jazz


  • Rapibus

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    Le Rapibus est un système rapide par bus qui comporte une voie bidirectionnelle exclusive aux autobus sur une distance de plus de 12 kilomètres dans la ville de Gatineau, Québec.
    Planifié depuis plusieurs années par la Société de transport de l’Outaouais (STO), le projet a officiellement reçu le feu vert grâce au financement de 146 millions $Can approuvé par le gouvernement du Québec en octobre 2007. La réalisation du projet a débuté au printemps 2010, l’ouverture a eu lieu le 19 octobre 2013. Le projet n’a cependant pas été complété et l’allongement du Rapibus jusqu’au boulevard Lorrain (Templeton-Ouest) a été reporté pour une phase ultérieure.

    Durant les années 1990, la STO et la Communauté Urbaine de l’Outaouais avaient travaillé sur des plans pour améliorer le transport en commun dans la région de l’Outaouais afin de pour contrer les problèmes grandissant de circulation dans plusieurs secteurs. L’est de la ville, près de l’autoroute 50, ainsi que les ponts traversant les rivières Gatineau et Des Outaouais étaient particulièrement congestionnés. À l’époque, la communauté urbaine préférait emprunter une voie parallèle aux voies ferrées existantes, comme celle du Canadien Pacifique à Hull et Gatineau, pour créer une voie rapide pour les autobus qui contournerait certains des secteurs les plus encombrés de la ville. On envisageait aussi l’amélioration de la traversée des ponts interprovinciaux vers Ottawa. En attendant l’aboutissement de ces plans, la STO ajouta plusieurs voies réservées aux autobus sur les boulevards Gréber, Fournier, Maisonneuve et Alexandre-Taché ainsi que sur le pont du Portage afin d’accélérer le service à la fin des années 1990 et au début des années 2000.
    En 2005, le projet s’accéléra quand Marc Bureau devint le maire de Gatineau, en défaisant Yves Ducharme, lors des élections municipales. Durant sa campagne, Bureau déclara que le système Rapibus était une de ses priorités. Quelques mois après sa victoire maillots adidas en ligne, des discussions entre la ville de Gatineau et le gouvernement du Québec eurent lieu afin d’en arriver à un accord sur la somme du financement provincial dans le projet. Quelques membres du conseil municipal de Gatineau, le maire Bureau, l’équipe administrative de la STO, des ministres du cabinet du gouvernement du Québec, dont l’ancien ministre des finances Michel Audet et le ministre du transport Michel Després, et la présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, se rencontrèrent ainsi à Québec le 6 décembre 2006.
    À la suite de la conférence, M. Bureau montra un certain optimisme quant à un accord futur de financement de 150 millions $Can par le gouvernement québécois. Cependant, le ministre responsable pour la région de l’Outaouais, Benoît Pelletier, dit aux journalistes en février 2007 qu’il serait difficile de réaliser le projet à court terme. Confirmant cette prédiction, aucun financement ne fut annoncé dans le budget provincial du Québec pour l’année 2007, prononcé le 20 février. Ce budget, à saveur électorale, ne fut jamais adopté, car le premier ministre du Québec, Jean Charest, déclencha tout de suite après des élections provinciales.
    En attendant le financement du gouvernement, la STO, à la suggestion de sa présidente et conseillère de Gatineau Louise Poirier, lança, tard en février 2007, une campagne de promotion à la radio et la télévision à propos de projet afin de le populariser. Après les élections provinciales, le gouvernement Charest, réélu minoritairement, déposa un nouveau budget incluant un financement important pour le projet Rapibus. Ce budget passa de justesse à l’Assemblée nationale le 1er juin 2007. Une annonce officielle fut faite le 26 octobre, durant une conférence de presse à laquelle participaient madame Poirier, monsieur Pelletier, la nouvelle ministre des transports du Québec, Julie Boulet, et le ministre fédéral du transport et ancien président de la STO, Lawrence Cannon. Finalement, on parle d’un coût total de 255 millions $Can. De ce montant, 75 % provient du ministère des Transports du Québec tandis que 25 % est défrayé par la Ville de Gatineau.
    Les travaux de construction ont débuté au printemps 2010 et doivent s’achever en 2013.
    Le Rapibus est comparable au Transitway d’OC Transpo à Ottawa. Comme ce dernier, il sera un réseau de voies réservées aux autobus et aux autres véhicules de la STO, incluant le service du transport adapté, les inspecteurs et probablement les véhicules de secours. La route principale commencera dans l’est de la ville de Gatineau, au boulevard Labrosse, longera les rails du chemin de fer Québec-Gatineau, parallèlement aux boulevards Maloney et de la Carrière, pour rejoindre le centre du quartier de Hull derrière le Manège militaire de Salaberry. Cette section se terminera juste à l’est de l’Université du Québec en Outaouais. Une deuxième section longera une partie du chemin de fer Hull-Chelsea-Wakefield et du boulevard de la Carrière jusqu’au chemin Freeman vers le nord. La distance totale parcourue par le réseau Rapibus sera de 12 kilomètres.
    Quand le projet fut annoncé, l’administration municipale déclara que le Rapibus transformerait la ville et le maire Bureau ajouta qu’il constituerait la contribution la plus importante du gouvernement du Québec dans la région depuis longtemps. On mentionna que le projet encouragerait la construction de plusieurs projets résidentiels et commerciaux le long du trajet, qu’il réduirait sensiblement l’émission de gaz à effet de serre et qu’il augmenterait le nombre de passagers du transport en commun d’environ 15 %.
    Plusieurs pôles d’attraction majeurs seront desservis par le Rapibus. Il compte déjà le centre commercial le plus grand à Gatineau, les Promenades de l’Outaouais, le Cégep de l’Outaouais (campus de Gatineau), le centre commercial des Galeries de Hull, le Casino du Lac-Leamy et la Maison de la Culture

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    . Un nouveau centre commercial « Smartcentres » maillots adidas en ligne, qui comprend un Wal-Mart (le plus grand du Québec) et plusieurs magasins de grande surface, se situe près de la future station De la Gappe. Près de la station De la Cité, un grand complexe sportif municipal a ouvert ses portes au printemps 2010. Dans le secteur de Hull, l’Université du Québec en Outaouais a l’intention de fusionner ses deux campus, Alexandre-Taché et Lucien-Brault, et de s’étendre vers l’est à proximité du terminus du Rapibus du boulevard Saint-Joseph maillots de foot 2016. Cette nouvelle section de l’université regroupera plusieurs facultés venant du campus Lucien-Brault vers le campus Alexandre-Taché actuel.
    Le Rapibus comprend 10 stations le long de ses deux sections. Deux stations seront co-localisées avec des stationnements incitatifs Parc-o-bus afin d’encourager les citoyens à y laisser leurs véhicules. Toutes les stations du Rapibus sont munies avec la surveillance par caméra.
    Les lignes Rapibus sont les lignes circulant sur le corridor. Elles sont au nombre de sept.


  • Gare de Bonnières

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    Géolocalisation sur la carte : France
    Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
    Géolocalisation sur la carte : Yvelines
    La gare de Bonnières est une gare ferroviaire française de la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre, située sur le territoire de la commune de Bonnières-sur-Seine dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

    Elle est située au point kilométrique 68,825 de la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre à 21 m d’altitude.
    En 2011, en moyenne 1160 voyageurs sont montés quotidiennement dans un train dans cette gare.
    La gare est desservie par les trains de la ligne J du Transilien (réseau Paris-Saint-Lazare) et par les trains TER Haute-Normandie de la relation Paris-Saint-Lazare – Rouen – Rive Droite euro de foot 2016 outlet.
    Depuis le 14 décembre 2008, il s’agit de la dernière gare en Île-de-France desservie par des trains en direction de la Haute-Normandie. La tarification relevant du syndicat des transports d’Île-de-France (STIF) n’est donc pas valable au-delà.
    La gare est desservie par les lignes 01

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    , 05 et 07 du réseau de bus Com’Bus et par les lignes 1 et 4 de la société de transport Transport du Val de Seine.
    Cette gare est ouverte au service du fret (toutes marchandises maillots adidas en ligne, desserte d’installations terminales embranchées et wagons isolés pour certains clients).
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  • Jacques Zwobada

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    Jacques Zwobada, parfois appelé par erreur « Jacques Zwoboda » à Neuilly-sur-Seine le 6 août 1900, mort à Paris le 6 septembre 1967 (à 67 ans), est un sculpteur et illustrateur et lithographe français.

    Doué pour le dessin, Jacques Zwobada devient élève à l’École des beaux-arts de Paris de 1918 à 1924. Dabord influencé par Auguste Rodin, sa sculpture s’éloignera de l’influence des formes du maître. En 1925, il obtient la médaille d’or de l’Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes de 1925 maillots adidas en ligne.
    En 1926, Jacques Zwobada reçoit sa première commande, celle du Monument à André Caplet, érigé en 1928 au Havre (détruit en 1944).
    En 1928, il est lauréat du second grand prix de Rome en sculpture.
    En 1929, il reçoit avec le sculpteur René Letourneur, le premier prix du concours international pour le Monument à Bolivar (1933) à Quito en Équateur. Zwobada et Letourneur mettront quatre ans à exécuter ce monument équestre dans les ateliers qu’ils ont installés à Fontenay-aux-Roses, ville où Zwobada travaillera sa vie durant.
    En 1934, il est nommé professeur à l’École supérieure des arts appliqués Duperré de la rue Dupetit-Thouars à Paris. Il occupera ce poste jusqu’en 1962. À partir de 1935, il commence à exécuter de nombreux bustes. En 1944, il est chargé de cours à l’École normale supérieure de l’enseignement technique.
    En 1948, il épouse Antonia Fiermonte, qui vient de divorcer de René Letourneur. Il entretient une passion amoureuse pour Antonia Fiermonte qui se traduira dans l’œuvre par la glorification du corps de la femme aimée. La même année, il s’envole vers le Vénézuela. Il est détaché par le ministère des Affaires étrangères comme professeur à l’École des beaux-arts de Caracas et conseiller artistique du gouvernement vénézuélien. Zwobada reçoit, en 1948, le grand prix de sculpture du Salon annuel de Caracas. Il restera en Amérique du Sud jusqu’en 1950.
    Le 3 avril 1956 maillots de foot vente, son épouse meurt. Zwobada lui élève un monument funéraire dessiné par son ami l’architecte Paul Herbé dans le cimetière de Mentana, près de Rome.
    En 1962, il est nommé professeur correcteur à l’École des beaux-arts de Paris. Il est nommé chevalier des Arts et lettres et, en 1963, chevalier de la Légion d’honneur. La même année, il exécute trois tapisseries aux Ateliers Pinton à Aubusson.
    Parmi ses œuvres 2016 soccer jerseys en ligne, il réalise celles qui ornent la Faculté des lettres de Rennes, une mosaïque du paquebot France, des dessins au fusain dans les ateliers d’Aubusson. Il illustre les Fleurs du mal de Charles Baudelaire de 25 lithographies (Léon Pichon, éditeur), et L’après-midi d’un faune de Mallarmé avec dix dessins.
    Le 6 septembre 1967 maillots de foot en ligne 2016, Jacques Zwobada meurt à Paris. Il est enterré près de sa femme à Mentana en Italie.


  • Lionel Tran

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    Lionel Tran est un auteur français né en 1971. Après une enfance à Vaulx-en-Velin, il réside à la Croix-Rousse (Lyon) depuis le début des années 1980.

    Son parcours est atypique : il n’a pas fait d’études de lettres, mais quelques années de linguistique et de sémiologie et un long passage dans l’underground lyonnais où il a fréquenté des peintres, des dessinateurs, des performeurs et des musiciens. Pendant dix ans, il alterne économie de survie parallèle maillots adidas en ligne, emplois aidés (dans une imprimerie d’état notamment), RMI. Il a été d’employé d’immeuble à la Croix-Rousse pendant seize ans.
    En 1997, il cofonde Terrenoire éditions, structure de micro-édition, qui dispose d’un atelier où toute la chaîne de fabrication du livre est dirigée par des auteurs, depuis l’écriture jusqu’à la reliure. Il auto-publie des dizaines de livres, solos ou collectifs. En 2004, la ligne éditoriale de Terrenoire éditions s’axe sur la publication de pamphlets sociaux et générationnels.
    De 1996 à 2004, Lionel Tran fait partie, en tant que journaliste pour Jade et auteur-scénariste, de ce qu’on a appelé le mouvement de bande dessinée indépendant, travaillant avec les éditeurs Les requins marteaux, L’Association, Ego Comme X, 6 pieds sous terre (Le journal d’un Loser, Une année sans printemps, Otaku). En 2002, il adapte le roman Une trop bruyante solitude de l’écrivain tchèque Bohumil Hrabal, projet sur lequel il a travaillé cinq ans, allant jusqu’à prendre un emploi de papetier massicotier pour se glisser dans la peau du narrateur. Ce projet est accompagné d’une scénographie présentée dans la programmation du 30e Festival international de la bande dessinée d’Angoulême en 2004, puis à la Cité du livre d’Aix-en-Provence avant d’être exposé au Musée National de la littérature de Prague.
    Son premier roman autobiographique et générationnel, Sida Mental, paraît en 2006. Sa traduction espagnole connaît en 2009 un succès critique[réf. nécessaire] alors que l’édition française est un échec.
    Depuis 2000 herve leger paris, il gagne sa vie en animant des ateliers d’écriture, s’inspirant des ateliers de creative writing anglo-saxons. Après avoir collaboré avec différentes structures, il fonde en 2014, avec Raphaël Bischoff, son propre atelier : les Artisans de la fiction ted baker robes 2016, installé à la Croix-Rousse.
    En 2008, il devient codirecteur avec Astrid Toulon du domaine littéraire chez Ego Comme X (romans autobiographiques). En 2009, ils publient Purulence d’Amoreena Winkler, récit d’une enfant née dans la secte Les enfants de Dieu.
    En septembre 2012 2016 chaussure de foot, Lionel Tran publie No Présent aux éditions Stock dans la collection « La forêt » dirigée par Brigitte Giraud. L’écriture de ce récit générationnel fragmenté qui se veut « le miroir brisé des enfants de baby-boomers » s’est étalée sur plus de dix ans.
    L’écriture de Lionel Tran s’inscrit à la fois dans la tradition issue du nouveau roman, visant à saisir émotionnellement le lecteur, et dans une culture de l’image où la notion de montage est omniprésente. Ses thèmes de prédilection sont la fracture générationnelle, le déclassement social et le sentiment de perte du réel.


  • Verdes

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    Géolocalisation sur la carte : France
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    Verdes est une ancienne commune française située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre-Val de Loire, devenue le 1er janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Beauce-la-Romaine.

    Verdes dite la Romaine fut il y a deux mille ans la principale cité de la région. Le nom de la ville est dérivé de la couleur verte en latin (viridis) / italien (verde). Les photos aériennes visibles à la mairie (Photos Claude Leymarios et Daniel Jalmain) nous prouvent l’existence d’une cité préhistorique, gauloise, romaine (jusqu’aux invasions barbares) et mérovingienne. Le château de Lierville, château de l’amiral De Coligny, nous rappelle les guerres de religions. La très grande quantité de silex taillés, de monnaies, d’armes, d’objets en bronze, trouvés au hasard dans les champs sacs de mode, dispersés dans les musées des villes voisines, les croquis de Mr De Pibrac exécutés au moment de la découverte des thermes, nous prouvent l’importance de cette ville que fut Verdes ; installée au bord de l’Aigre et au croisement de deux grandes voies, Chartres-Blois et Le Mans – Châteaudun – Meung-sur-Loire et Beaugency. Le grand nombre d’auberges-relais en est la preuve, ainsi que la chaussée-digue romaine (construite à l’emplacement d’un gué sur l’Aigre) qui permettait la traversée du dangereux marais et qui a créé le plus important étang du Dunois, malheureusement asséché depuis plus d’un siècle et demi.
    Un peu d’archéologie : la cité romaine (agglomération secondaire antique) a été redécouverte par hasard en 1856, par un paysan qui défrichait son exploitation. L’ensemble, basilique, forum, palestre (photos Daniel Jalmain 1976) est un site protégé par le Service Régional d’Archéologie (S.R.A) avec la chaussée-digue romaine, à l’extrémité Ouest du lac en limite du grand chemin. Les Romains érigèrent cette chaussée-digue en grand appareil et aménagèrent un étroit passage vouté pour l’écoulement de l’Aigre, avec en aval, des coulisses (vannes) pour élever le niveau de l’eau et former une vaste retenue. L’étang, en partie creusé artificiellement dans le marécage de part et d’autre du lit de la rivière maillots adidas en ligne, s’étendait jusqu’à la ferme actuelle de Monchaux, sur une longueur de 1,6 km ; sa largeur pouvait atteindre 150 m, sur une profondeur de 3 à 4 m. Sa superficie avoisinait les 23 ha. Cette protection infranchissable explique en partie le développement de la cité gallo-romaine. Il a été asséché en 1851 pour éviter « les fièvres » genre de paludisme autochtone, que l’on pensait du au « mauvais air » des eaux stagnantes des marais, alors que la cause en était la pullulation des moustiques. Une légende rapportée par l’abbé Bordas, historien du Dunois, rappelle que vers 596, l’eau de l’étang se serait échauffée et que le flot bouillait tellement qu’il a rejeté sur son rivage des poissons cuits lancel sac à main. Les Thermes, furent découverts en 1857 et publiés par M. du Faur De Pibrac, délégué de la société historique et archéologique de l’Orléanais. Il a écrit un mémoire essentiel sur le sujet en décrivant une vaste mosaïque de 90 m2 appartenant à cet établissement de bains et datée du IIe siècle (fin de la période Antonine selon Me Blanchard-Lemée qui a étudié aussi la mosaïque de Marboué). Sa conservation étant mal assurée, en 1905, M. Florence, historien du Loir-et-Cher, fit transporter au musée de Blois un important morceau de 11 m2. Constitué de tesselles noires et blanches, il représente un labyrinthe, seule représentation connue dans la région pour cette époque. En suivant la route de Tripleville, sur le site de « la Méraudière », Henri Lée, un fouilleur amateur local, aurait fouillé et identifié, en 1926, une tremperie de lupins (voir photo sur site écomusée).
    En 2013, la commune comptait 490 habitants. L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[Note 1],[Note 2].

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d’un âge supérieur à 60 ans (25 sandro robe,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (26,3 %). À l’instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,1 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
    La répartition de la population de la commune par tranches d’âge est, en 2007, la suivante :
    Les armoiries de Verdes se blasonnent ainsi : D’azur à la colonne antique d’argent accompagnée en pointe de deux épis de blé effeuillés d’or passés en sautoir.
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  • Ouverture Barnes

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    L’Ouverture Barnes ou Ouverture Gedult est une ouverture du jeu d’échecs commençant par 1. f3.
    Cette ouverture est considérée comme irrégulière et est classée sous le code A00 de l’Encyclopédie des ouvertures d’échecs.
    Elle doit son nom à un joueur d’échecs anglais, Thomas Wilson Barnes (1825—1874) qui, lors d’une série de parties amicales contre Paul Morphy, en a gagné une en répondant 1…f6 au premier coup blanc 1. e4. Cette ligne d’ouverture 1. e4 f6 est connue sous le nom de défense Barnes.

    Des vingt coups dont les Blancs disposent pour ouvrir une partie, le coup f3 est considéré comme étant le plus faible. Ce coup permet le contrôle de la case centrale e4, mais les coups 1. d3 et 1. Cc3 sont de meilleures façons pour y parvenir, bien qu’ils soient considérés comme passifs pour les Blancs. 1.f3 ne fait rien pour le développement des forces blanches 

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    ; pire pas cher maillots de foot, il prive le cavalier g1 de sa meilleure case. De plus, ce coup affaiblit sérieusement et inutilement l’aile roi. Puisque le coup 1. f3 est très faible, il n’est pas joué souvent. Certains joueurs l’utilisent de façon provocante contre un joueur qu’ils estiment plus faible. D’ailleurs ces mêmes joueurs peuvent pas cher maillots de foot, après la réponse noire …e5, jouer le deuxième coup Rf2 totalement dénué de sens. Cette ligne 1. f3 e5 2. Rf2 porte le nom d’ouverture coup de marteau maillots adidas en ligne, du renard frit, de la côtelette de porc ou encore selon Fernando Arrabal ouverture panique. On peut citer comme partie exemple de cette ouverture la partie entre Simon Williams et Martin Simons lors du championnat britannique de 1999.
    Les Noirs peuvent s’assurer un avantage de développement en avançant leurs pions centraux, s’octroyer le contrôle du centre, et développer facilement leurs pièces. Cependant, ces avantages ne sont généralement pas suffisants pour être convertis en victoire.
    Après les coups 1. f3 e5 2. g4 Dh4#, les Blancs sont mat en deux coups.
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